Depuis 2015, l’armée recrute massivement et avec difficulté. Au-delà des images publicitaires, le livre « Mauvaise troupe » révèle un terrible gâchis humain : des jeunes recrues, souvent mal formées et mal encadrées, sont écœurées par des missions absurdes ou précipitées dans les horreurs de la guerre. Extraits de ce livre.
La France a été, en 2018, le troisième exportateur d’armes dans le monde selon un rapport remis au Parlement. Ses principaux clients sont l’Arabie saoudite, qui conduit une sale guerre au Yémen, le Qatar ou l’Égypte du maréchal al-Sissi.
L’organisation SumOfUs s’est appuyée sur les données de l’ONG Profundo pour dénoncer les liens financiers entre la compagnie d’assurances et six sociétés israéliennes investissant dans des projets d’infrastructures dans les colonies en Cisjordanie, illégales au regard du droit international. Le groupe dément.
Selon un document de travail de l’Unédic, l’organisme qui gère l’argent de l’assurance-chômage, l’ensemble des mesures impactera négativement au moins 1,2 million de personnes… sur les 2,6 millions qui touchent chaque mois une somme de Pôle emploi.
Alors que Bernard Tapie doit restituer depuis fin 2015 le magot de l’arbitrage frauduleux, le tribunal de commerce de Bobigny fait à son tour entrave à la justice en renvoyant au 30 octobre l’examen de la demande de mise en liquidation du groupe. Ce qui offre un nouveau délai de grâce à l’ex-homme d’affaires.
L’Agence des participations de l’État a annoncé qu’elle allait se pourvoir en cassation, dans l’espoir d’obtenir l’annulation de l’arrêt de la cour administrative d’appel de Paris, qui a récemment annulé la privatisation de la Société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac (SATB).
Un rapport de l’Observatoire girondin des libertés publiques dénonce le maintien de l’ordre dirigé par le nouveau préfet de police de Paris Didier Lallement, lorsqu’il était en poste à Bordeaux.
La présidente de la cour d’appel de Paris a rendu une ordonnance dépaysant à Bobigny la procédure de liquidation des sociétés de Bernard Tapie. C’est l’ex-homme d’affaires qui avait fait cette demande au prétexte notamment que Mediapart avait révélé l’ouverture d’une information judiciaire pour escroquerie au jugement à la suite d’une décision du tribunal de commerce de Paris.
La Cour des comptes a publié, jeudi 18 avril, un référé sur les plans de relance autoroutiers. Elle souligne à nouveau le déséquilibre organisé entre l’État et les sociétés concessionnaires.