Il est considéré comme l'un des organisateurs du casse du siècle : la fraude aux quotas de CO2. Son nom est également cité dans plusieurs affaires de meurtres non résolues. Il est par ailleurs soupçonné d'avoir fait enlever un riche financier suisse. Son nom ? Arnaud Mimran. Son réseau d'influence ? Étourdissant.
Tout ne s’est peut-être pas passé comme l’affirme la Société générale, lorsqu'il s'est agi de « déboucler » les 50 milliards d'euros d'engagements pris par Jérôme Kerviel. Deux grands banquiers ont raconté à une journaliste financière qu’ils avaient été prévenus à l'avance par Daniel Bouton de l'opération. Ce qui change beaucoup de choses.
Le soir du 13 novembre 2015, les victimes des attentats contre la brasserie « La Bonne Bière » et le restaurant « Casa Nostra » n’ont pas reçu de secours médicaux. Ils ont été insuffisants à « La Belle Équipe ». Le chaos propre à ces scènes de guerre ne suffit pas à expliquer ces dysfonctionnements. Ils tiennent à un ancien problème de communication entre les deux systèmes de secours : les pompiers et le Samu.
Alors que les primaires américaines se déplacent dans le sud du pays où, côté démocrate, les Africains-Américains sont nombreux à voter, il est impossible de passer à côté du mouvement #BlackLivesMatter (« la vie des Noirs compte »), qui interpelle les autorités sur les brutalités policières.
Le petit monde des cabinets d’expertise, que les salariés peuvent appeler à la rescousse pour analyser les comptes de leur entreprise, est en ébullition. Peut-on conseiller à la fois l’ouvrier et le patron ? Le débat se cristallise autour du leader du marché, Secafi, et de son dirigeant Pierre Ferracci, maître des réseaux politico-syndicaux.
Un sénateur et un député de Haute-Corse mis en examen pour atteintes à la probité, un sénateur de Corse-du-Sud cité à comparaître… Dans les cabinets des juges et du procureur de Bastia, de plus en plus d'élus se retrouvent mis en cause dans des affaires de corruption politico-financières.
La France a longtemps représenté une voie médiane aux Nations unies, ce qui lui permettait d'avoir beaucoup d'influence. Aujourd'hui, en raison d'une politique étrangère atlantiste et d'un désintérêt pour le lobbying, elle voit la plupart des postes importants lui échapper.
Les autorités marocaines semblent vouloir montrer davantage de fermeté, en faisant preuve d'intransigeance envers les dérapages de personnalités religieuses et en révisant les programmes scolaires. Mais de nombreux critiques pointent la manière dont le pouvoir, en vue de diviser l'opposition, joue un rôle dans le développement du salafisme.
Après quinze ans de libéralisation impensée, le gouvernement ne peut plus différer la question : qu’est-ce qu’EDF ? Un service public ou un simple producteur d’énergie nucléaire ?
EDF veut prolonger la durée de vie de ses réacteurs, mais seule l’Autorité de sûreté peut l’y autoriser. Les exigences du gendarme du nucléaire exaspèrent le groupe, qui craint de ne pouvoir faire face aux énormes dépenses rendues nécessaires par le vieillissement de son parc de production.