[asset|aid=10359|format=225_pixels|formatter=imagecache|title=_F6K9663_dpp_Jean_Paul_Mopo%5B1%5D[1|height=100|width=100].jpg|align=left]Dans son livre, Les Crimes économiques dans les Grands Lacs africains (Editions MENAIBUC 2006), Jean-Paul Mopo Kobanda, doctorant en droit à l'université de Paris-I, analyse la problématique de criminalisation de l’économie et les pillages des ressources naturelles en République démocratique du Congo.
Le conseil national, qui s'est réuni, samedi 6 décembre, pour élire la nouvelle direction du parti socialiste, où ne figure aucun partisan de Ségolène Royal, l'eurodéputé Benoît Hamon a été choisi comme porte-parole de Martine Aubry. Entretien avec le leader de l'aile gauche du PS, qui analyse l'état du parti, continue à pourfendre le "royalisme" et évoque sa vision de l'avenir. Lire aussi:
David Lebon, l'atout jeune de Martine Aubry
C'est un film où Catherine Deneuve joue son propre rôle. Une pulsion s'empare d'elle: elle veut «voir» le Liban ravagé par la guerre de l'été 2006. Les Libanais Joana Hadjithomas et Khalil Joreige signent, avec Je veux voir, en salles depuis mercredi, un film important, ni tout à fait docu, ni tout à fait fiction, en réaction au traitement du conflit par les télévisions du monde entier. Lire aussi notre entretien avec les deux cinéastes et, côté Club, le texte de Joseph Ghosn, compositeur de l'un des titres de la bande originale du film. [photo Patrick Swirc]
À l'ombre des Claude Bartolone, Jean-Christophe Cambadélis ou François Lamy, David Lebon trace sa route dans l'entourage de la nouvelle première secrétaire du PS. À 31 ans, cet ancien président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), qui a «grandi politiquement» aux côtés de Benoît Hamon, sera promu dans la direction du parti samedi et symbolise une génération militante ancrée à gauche et désireuse de rénover l'appareil. Portrait.
En dix ans, la France est passée du désir de travailler moins à l'obligation de travailler plus. Et la dépression économique en cours risque de transformer le travail. Nous avons demandé sa vision d'une telle évolution au linguiste Jean-Claude Milner, qui avait analysé (Le Salaire de l'idéal au Seuil en 1997) l'écrasement des classes moyennes sous une valeur travail revisitée par un capitalisme féroce déferlant depuis la Chine et la Russie. Ces classes moyennes sont aujourd'hui au cœur des évolutions du discours présidentiel.
Un remaniement ministériel se prépare. Il ne sera peut-être pas aussi impressionnant qu'on le dit. Jean-Marie Bockel, actuel secrétaire d'Etat en charge de la défense et des anciens combattants, tire un bilan de l'entrée d'anciens socialistes au gouvernement et évoque la suite des opérations. Lire aussi l'article de Marine Turchi:A l'Elysée, le casse-tête du remaniement
Dans une lettre ouverte à Nicolas Sarkozy Lynda Asmani, candidate aux primaires UMP pour la présidence de la région Ile-de-France, lance «un cri d'alarme» pour lui demander de «faire émerger une nouvelle génération d’élus de terrain qui ne sont ni du sérail, ni des héritiers, ni même des alibis». Pour cette conseillère de Paris, «l'UMP n'est pas sincère dans sa volonté de faire émerger de nouvelles têtes» et se cantonne «au symbole», tel Rama Yade. Entretien.
«L'option est sur la table du gouvernement», explique l'ancien ambassadeur d'Israël en France de 2000 à 2002, pour lequel il existe un large consensus politique en Israël pour empêcher par tous les moyens un Iran nucléarisé. Dans un entretien accordé à Mediapart, Elie Barnavi fait également le point sur les négociations avec la Syrie, qui devraient se conclure «très vite», et le processus de paix avec les Palestiniens, qui n'avancera pas, selon lui, sans pressions de Washington sur Israël.
Alors que la crise donne un nouveau souffle à la régulation de l'économie par l'Etat, Nicolas Hulot appelle à la mise en place d'un véritable «plan Marshall climatique». Il s'agirait de financer des activités «compatibles avec la réalité énergétique et environnementale». Entretien audio.
Après la démission du ministre indien de l'intérieur, l'enquête sur les attentats de Bombay (172 morts, 300 blessés) privilégie la piste pakistanaise. Dimanche 30 novembre, des milliers de personnes ont manifesté dans la ville (photo). Dans un entretien à Mediapart, Mira Kamdar, auteure d'un best-seller sur l'Inde, Planet India, décrit le fantastique développement qu'a connu le pays mais aussi la frustration d'une partie de la population, qui n'en a pas profité.