Chaîne pornographique sur la messagerie Slack, comportements et remarques déplacés, machisme… Des étudiantes de l’école 42, à Paris, spécialisée dans le code informatique, racontent une ambiance délétère, selon l’enquête de L’Usine nouvelle.
« Il avait fait le tour des médias pour raconter l’horreur, le traumatisme, l’après. Mais rien n’était vrai. » Deux ans après les attentats du 13 novembre 2015, Cédric Rey a été démasqué et arrêté. Libération, un temps victime de l’imposteur, a reconstitué son itinéraire.
Réagissant aux révélations parues dans Le Monde à son sujet dans la série des « Paradise Papers », le PDG de LVMH Bernard Arnault a décidé de priver le quotidien de la publicité programmée par son groupe jusqu’à la fin de l’année, révèle, mercredi, Le Canard enchaîné.
« Pontoise, Melun, il est temps d’affirmer qu’un enfant de 11 ans ne consent pas librement à des relations sexuelles ! », souligne Jean-Pierre Rosenczveig, président du tribunal pour enfants de Bobigny, sur son blog « Droits des enfants ».
Le journal Libération a réuni les témoignages de huit femmes, militantes ou cadres socialistes, qui accusent Thierry Marchal-Beck, ancien président du Mouvement des jeunes socialistes, de les avoir harcelées et agressées entre 2010 et 2014.
La Société du spectacle de Guy Debord paraît en 1967. Dans le silence religieux des médias et des intellectuels, même si le bréviaire situationniste a très vite circulé dans la gauche radicale. Ce n'est que vingt ans plus tard qu'il sortira de l'ombre.
Poursuivie pour complicité d'actes de torture après avoir vendu des outils de surveillance à la Libye de Kadhafi en 2006, Amesys avait officiellement disparu. Mais c'était pour mieux renaître sous la forme d'une entité bicéphale basée en France et à Dubaï, avec les mêmes activités. Le site Reflets entame la publication d'une série d'enquêtes sur les nouveaux clients et produits de ce poids lourd de la surveillance du Net, actif en Égypte, en Turquie, au Gabon, mais également en France.
Après l’affaire Weinstein, les témoignages de violences sexuelles affluent, sauf dans le sport. Pour la ministre Laura Flessel, il n’y a « pas d’omerta ».