Ahmadinejad n'a réussi, lundi, qu'à embrasser l'épaule du guide suprême iranien. Il n'est toutefois pas le premier président à perdre la face devant des caméras. La gestuelle en politique est chose complexe...
«Nous devons remplacer le jeu vidéo par un livre.» Le président américain ne manque une occasion de le rappeler: les jeux vidéo, c'est mal. Une drôle de lubie.
Le gouvernement a tranché: les prix de l'électricité augmenteront de 1,9% pour les particuliers à partir du 15 août. Le gouvernement a décidé d'ignorer les règles fixées par le contrat de service public signé avec EDF. Les révisions se font toutes dans le même sens: en défaveur des usagers et des consommateurs. En dépit de la récession et de la montée du chômage, tous les services publics et les charges de la vie quotidienne augmentent au-delà de l'inflation. En revanche, le gouvernement a décidé de ne pas donner de coup de pouce au SMIC. Les salariés de la fonction publique ont vu leur salaire revalorisé de 0, 5%. Quant aux allocations familiales et minima sociaux, ils sont restés inchangés. Revue de détail avec les prix de EDF, GDF, la SNCF, la RATP et le livret A.
Derrière le fait divers tragique de Tel-Aviv, ville gay friendly par excellence, se cache une sinistre réalité: de jeunes blessés ont préféré ne pas se faire soigner plutôt que d'être obligés de révéler leur homosexualité à leurs parents.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de classer les UV artificiels comme «cancérigènes». Qu'attend-on pour interdire les dizaines de milliers de cabines de bronzages françaises?
Etes-vous très heureux? Un peu heureux? Pas très heureux? Pas heureux du tout? Sans avis sur le bonheur? Ou juste offusqués que les sondeurs s'emparent de tous les sujets, jusqu'au sein de la commission Stiglitz.
Le CSA ne décomptera pas le temps de parole du président Sarkozy quand il s'exprimera sur des sujets touchant à la souveraineté de l'Etat. Comme s'il n'était pas chef de parti dans ces moments-là. Comme si un distinguo était possible.
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a annoncé, mardi 21 juillet, que le temps de parole du chef de l’Etat dans les médias serait désormais décompté. S'il est difficile de voir comment les nouvelles règles seront appliquées, –tant la distinction entre ce qui relève du «débat national» ou non est floue–, la décision vise en tout cas à mettre fin à un déséquilibre criant, aggravé sous l'omniprésidence Sarkozy. Et, espérons-le, à limiter les complaisantes "soirées ORTF" comme celles du 14-Juillet dernier.