Retour à la recherche

14 portfolios pour la recherche « arabie »

  • À Jérusalem-Est, le pur-sang pour s’élever de la poussière

    Portfolio — 17 photos

    En Cisjordanie, une communauté d’éleveurs préserve l’héritage du pur-sang arabe, un animal profondément ancré dans l’identité culturelle palestinienne. Malgré les difficultés liées au conflit avec Israël et au manque d’infrastructures, le cheval arabe est pour les Palestiniens une source de revenus, une revendication de leur identité et un défi face au monopole des programmes d’élevage israéliens.

  • Main basse sur Djibouti

    Portfolio — 14 photos

    Stratégiquement situé sur la mer Rouge juste avant le canal de Suez, Djibouti se positionne de plus en plus comme un acteur majeur de la Corne de l'Afrique et de toute la péninsule d'Arabie. Ancienne colonie française devenue indépendante en 1977, ce territoire d’un peu moins de 25 000 km2 attire aujourd’hui Chinois et Qataris et, aux côtés de membres de l’armée française, des militaires américains, italiens, allemands et espagnols.

  • «Nos frères ne reviendront pas. Nous menons le combat pour préserver vos vies»

    Portfolio — 12 photos

    Ils sont majoritairement noirs et arabes. Et de classe populaire. Samedi 13 juin, ils sont venus de toute la France pour répondre à l'appel de la famille Traoré, fer de lance en France, avec le comité Adama, de la lutte contre l’impunité des violences policières et du racisme, qui a réuni à nouveau des milliers de personnes à Paris.

  • Yémen: cinq ans sous les bombes

    Portfolio — 16 photos

    Le coronavirus fera-t-il taire les armes ? Jeudi 26 mars, l’ONU a salué la promesse des belligérants au Yémen de « cesser immédiatement toutes les hostilités militaires ». La guerre oppose ici depuis plus de cinq ans les rebelles houthis soutenus par l’Iran aux forces du gouvernement appuyées par l’Arabie saoudite. Au moins 100 000 morts ont été recensés. Pour Médecins sans frontières, la photographe Agnès Varraine-Leca s’est rendue trois fois au Yémen entre mars 2018 et mai 2019.

  • Maroc pop

    Portfolio — 7 photos

    Jusqu’au 17 novembre, Hassan Hajjaj, créateur maroco-britannique de 58 ans, expose à la Maison européenne de la photographie (MEP), à Paris, de nombreuses séries photographiques, mais aussi des installations, des vidéos, du mobilier et des éléments de décoration. Arrivé à Londres à l’âge de 12 ans, aujourd’hui installé à Marrakech, son travail mixe l’Orient et l’Occident avec humour, ambiguïté et force couleurs.Cette exposition s'inscrit dans la Biennale des photographes du monde arabe contemporain jusqu'au 24 novembre à Paris.

  • Retour en Algérie, 17 ans après

    Portfolio — 15 photos

    « En octobre 2014, écrit la photographe Lynn S.K., je retourne en Algérie, où je suis née, et où je n’ai pas mis les pieds pendant 17 ans. Là-bas, je rencontre N., qui était la garde-malade de ma tante décédée. Très vite, elle me parle de sa mère et de sa famille dans la banlieue jijelienne, à quelque 300 km à l’est d’Alger. Je lui demande si je peux l’y accompagner, elle accepte. » Ces photographies ont été réalisées entre octobre 2014 et septembre 2015. Lynn S.K. expose jusqu’au 16 novembre à la mairie du IVe arrondissement de Paris, dans le cadre de la troisième biennale des photographes du monde arabe contemporain (voir le programme ici).

  • Les Samaritains, communauté de 800 âmes menacée de disparition

    Portfolio — 10 photos

    C’est l’une des plus petites communautés ethniques et religieuses au monde. Avec quelque 800 adeptes, les Samaritains ne sont ni juifs ni musulmans, même s'ils se considèrent comme les descendants directs des tribus d’Israël et s’ils parlent l’arabe palestinien dans leur communauté près de Naplouse. Ce statut leur offre une certaine liberté, dans ce territoire traversé par de multiples conflits.

  • Marseillais du Nord

    Portfolio — 10 photos

    Entre 1992 et 1993, sur commande du ministère de la culture, Gilles Favier photographie La Renaude, enclave du nord de Marseille. Un quartier « sensible » divisé en deux – en gros, les familles arabes en haut, les familles gitanes en bas. Gilles Favier y restera un an et demi, réalisant au format 6 x 6 une série de portraits en noir et blanc. Plus de deux décennies après leur réalisation, les éditions Le Bec en l’air ont eu la bonne idée de confronter ce corpus d’images à l’écriture de Philippe Pujol, prix Albert-Londres 2014 pour sa série d’articles « Quartiers shit » sur les quartiers nord de Marseille.

  • Le livre d’histoires d’un photoreporter

    Portfolio — 16 photos

    Des Philippines en 1983 aux printemps arabes en 2011, Thomas Haley a sillonné le monde, produisant des photos pour les plus importants journaux (il publie aujourd’hui régulièrement sur Mediapart). Il a rassemblé dans un livre, Journey Man (l’homme qui voyage, mais aussi celui que l’on paye à la journée), ces 40 années durant lesquelles il a « cru que [ses] photos pouvaient corriger les torts et les injustices, qu’il suffisait d’exposer la vérité pour rectifier le mal ». Mêlant la grande histoire à sa vie quotidienne, ce livre, au graphisme très riche, raconte un monde révolu : celui des télex, des carnets consignant rendez-vous, contacts, informations, des pellicules et des journaux papier. Sans nostalgie aucune.

  • Le monde arabe s'invite entre les deux rives de la Seine

    Portfolio — 10 photos

    Le 10 novembre dernier, l’Institut du monde arabe (IMA) et la Maison européenne de la photographie (MEP) lançaient un événement inédit sur la scène culturelle parisienne : la première Biennale des photographes du monde arabe contemporain. Une radioscopie du monde arabe, loin des clichés qui collent aux voiles et djellabas de ce coin du globe en (r)évolutions. Rives droite et gauche de la Seine, comme un pont entre les deux rives de la Méditerranée, une cinquantaine d’artistes, du monde arabe ou « occidental », fixaient leurs travaux dans une dizaine de lieux de la capitale. Et puis, trois jours plus tard, Daech frappait Paris. Scènes de guerre dans la capitale. Deuil national. État d’urgence. Et des voix, de plus en plus affranchies dans les ténèbres, qui résument “le monde arabe” à la folie nihiliste de quelques barbares. Tout ce que combat la Biennale, visible jusqu’au 17 janvier 2016. Sélection.