Alexandre Benalla a été placé en garde à vue, mardi 14 décembre, dans le cadre de l’enquête pour « corruption » sur les contrats de sécurité avec deux oligarques russes, négociés avant et après son départ de l’Élysée, en 2018.
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Considérant son comportement comme « inadmissible et insupportable au corps social », le tribunal a condamné l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron à trois ans de prison, dont un ferme, dans les affaires des violences du 1er-Mai, du selfie armé et des passeports diplomatiques.
Lors de son procès, Alexandre Benalla a dit travailler pour une ONG internationale basée en Suisse, l’OMRGC. Derrière cette structure, il y a en réalité un mystérieux réseau, dans lequel on retrouve un ancien policier aux prises avec la justice mais aussi un contrat de protection de l’ambassadrice des Émirats arabes unis à Paris.
Le procès d’Alexandre Benalla s’est achevé vendredi 1er octobre au soir après les plaidoiries de la défense. Le jugement a été mis en délibéré au 5 novembre.
Le parquet de Paris a requis des peines de prison avec sursis contre Alexandre Benalla et les trois autres prévenus du procès, jeudi 30 septembre au soir.
Personne ne savait que la vidéo diffusée par LREM et l’Élysée, pour aider Alexandre Benalla, avait été extraite illégalement de la vidéosurveillance policière, jurent les prévenus et le témoin Ismaël Emelien au tribunal correctionnel de Paris.
L’examen des événements du 1er mai 2018 ne tourne pas à l'avantage d’Alexandre Benalla ni de son ami Vincent Crase, qui se sont pris pour des policiers sans en avoir le droit ni le titre.
L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron a contourné les règles pour se faire établir un passeport de service, et il utilisait deux passeports diplomatiques après son départ de l’Élysée. En toute bonne foi, jure-t-il.
Au premier jour de son procès, l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron maintient que c’est une arme factice qu’il a braquée sur une serveuse dans l’affaire du selfie.
Comment Éric Zemmour a-t-il fait vriller une partie des médias audiovisuels en imposant ses obsessions, l’islam et l’immigration ? « À l’air libre » décrypte l’extrême-droitisation du paysage audiovisuel avec notre invité, le journaliste et ancien membre du CSA Rachid Arhab.