En proposant d’interdire les « listes communautaires », la droite s’est engouffrée dans la brèche ouverte par l’exécutif après les européennes. Si elle séduit certains membres du gouvernement, l’idée est écartée par son chef, qui réfléchit tout de même à d’autres pistes, comme celle d’étendre « la neutralité des fonctionnaires aux élus ».
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Depuis le 18 octobre, le droit de retrait exercé par les agents de la SNCF a perturbé le trafic ferroviaire, entraînant de nombreuses annulations de trains. Le premier ministre étudie les poursuites judiciaires possibles. Plusieurs syndicats appellent à une grève illimitée à partir du 5 décembre.
Alors que le débat sur la « politique migratoire » est programmé lundi à l’Assemblée nationale, Mediapart a épluché le « document préparatoire » fourni aux députés LREM. « Dix faits » sont exposés, censément indiscutables. À voir.
Mis en cause de toutes parts après l’attaque à la préfecture de police de Paris, le ministre de l’intérieur a exclu dimanche de démissionner. Il a répété sur TF1 qu’aucun contrôle n’avait détecté de signes de radicalisation chez l’informaticien.
L’enquête visant l’islamologue suisse Tariq Ramadan, mis en examen pour les viols de deux femmes entre 2009 et 2012, a été élargie à de nouveaux faits, qui seraient survenus à Paris en 2015 et 2016.
Un spectre hétéroclite de la classe politique française, qui va des Insoumis au Rassemblement national, en passant par la Macronie et Les Républicains, s’est inquiété ces dernières semaines de l’emprise de la justice sur la vie publique. Au lieu de s'interroger sur l'état de la corruption dans notre pays…
À gauche, beaucoup s’interrogent sur la légitimité du procès qui doit avoir lieu, ce jeudi et ce vendredi à Bobigny, contre six cadres insoumis. Mais au lieu de rassembler largement, la stratégie de défense accusatoire choisie par le leader de La France insoumise a refroidi la plupart de ses soutiens.
Pour contrer l’extrême droite, le chef de l’État entend replacer l’immigration au cœur du débat public. Non content de recycler la stratégie politique de Nicolas Sarkozy, il réutilise également sa rhétorique, opposant le prétendu aveuglement des « bourgeois » aux « réalités » des classes populaires.
Après nos révélations qui ont conduit à sa démission, le 16 juillet, l’ancien ministre de l’écologie a mené, parfois aidé par certains médias, une offensive de communication visant à faire croire qu’il avait été « blanchi » et que Mediapart avait été « démenti ». C'est évidemment faux. Mediapart reprend les faits, un à un.
Cet été, les sarkozystes ont mené tambour battant une opération de communication, largement alimentée par une série d’articles du Journal du dimanche, pour dénoncer une « machination » dans l’affaire des financements libyens. La manœuvre ne résiste pas à l’examen des faits. Les voici.