Donald Trump s’est fait élire sur la promesse de ne plus engager son pays dans des « guerres sans fin ». Mais l’attaque israélienne contre l’Iran fait craindre aux soutiens de Donald Trump que les États-Unis ne soient entraînés dans le conflit.
Le président des États-Unis a promis à de nombreuses reprises de nouvelles sanctions contre la Russie si elle ne mettait pas fin à sa guerre en Ukraine. Il n’en a rien fait. Le Sénat pourrait reprendre la main grâce à un projet bénéficiant d’un large accord avec les démocrates.
La prestigieuse université états-unienne a choisi une étudiante chinoise pour prononcer le traditionnel discours de la remise des diplômes. Une prestation qui a provoqué nombre de réactions, enthousiastes ou critiques, à la fois aux États-Unis et dans son pays d’origine.
Le président des États-unis a décidé d’envoyer la garde nationale à Los Angeles, en se passant de l’accord du gouverneur. Il a même menacé d’envoyer en prison celui qui est présenté comme un des candidats possibles des démocrates à la présidentielle de 2028.
Décrivant une mégapole californienne en proie à des « foules violentes » visant à soutenir une « invasion de migrants », le président américain s’est livré à une démonstration de force inédite en y envoyant la garde nationale. Mais le « chaos » décrit est largement exagéré.
Un peu partout dans le monde, les gauches cherchent les meilleurs moyens de lutter contre la fascisation en cours. Mediapart donne la parole à certaines de ses figures. Premier entretien avec l’Argentine Myriam Bregman, du Parti des travailleurs socialistes (PTS), opposante au président Javier Milei.
Dans son nouveau roman, « Wanted », l’écrivain Philippe Claudel se confronte à la situation états-unienne contemporaine dans une fiction politique à la dimension farcesque, dont Elon Musk et Donald Trump sont les personnages principaux.
Il y a encore quelques jours, le président Donald Trump et le milliardaire Elon Musk affichaient leur entente. Mais la fin de sa mission et ses critiques répétées du projet de loi budgétaire ont envenimé les relations entre les deux hommes. Jusqu’au point de rupture jeudi.
Le président des États-Unis a décidé de « restreindre l’entrée aux ressortissants étrangers » qui viennent intégrer la prestigieuse université. Harvard dénonce une « mesure de représailles illégale ». Trump a également décidé d’interdire aux ressortissants de 12 pays d’entrer aux États-Unis afin de « protéger » le pays de « terroristes étrangers ».
L’administration Trump intensifie ses mesures contre la prestigieuse université, qui refuse de se plier à ses injonctions. Si la justice leur a accordé un répit, les étudiants étrangers s’inquiètent du chaos administratif et de la poursuite de leurs études.
Les milliers d’adoptions illégales au Chili ont continué bien après la dictature de Pinochet. Mediapart a répertorié plus de trente cas survenus entre 1993 et 2023. Les familles victimes ont presque toujours le même profil : des femmes précaires qui se sont vu retirer leurs enfants sans pouvoir s’y opposer.
De retour à la Maison-Blanche, le magnat de l’immobilier a mis des dorures au plafond. Et transformé la pièce emblématique du pouvoir en plateau de télévision, où les visites des responsables étrangers peuvent tourner au bizutage diplomatique.
Après la décision de trois juges de bloquer son programme de taxes douanières, le président des États-Unis et ses partisans ont dénoncé une « tyrannie judiciaire ». Une attaque qui s’inscrit dans une offensive contre tous les contre-pouvoirs et vise aussi la prestigieuse université Harvard.
Symbole de la révolution trumpiste, le patron de Tesla et SpaceX a mis un terme à sa mission à la tête du département de l’efficacité gouvernementale et retourne à ses affaires. Aucune des promesses d’économies n’a été tenue. Il laisse une administration en plein chaos.
Les États-Unis commémorent ce dimanche la mort de l’Afro-Américain George Floyd, tué il y a cinq ans par un policier blanc à Minneapolis. Dans un contexte où le mouvement Black Lives Matter voit Donald Trump faire marche arrière sur toutes les réformes destinées à lutter contre le racisme.
Inspiré par le système de missiles de défense israélien, le président états-unien affirme vouloir protéger son pays de toutes attaques de missiles ou de drones. Il reprend surtout une vieille idée des années 1980, faisant craindre une militarisation de l’espace et une nouvelle course aux armements.