Les deux candidats à l’élection présidentielle s’affrontent pour la première fois dans un débat télévisé, mardi 10 septembre. Il resterait moins de 5 % de l’électorat à convaincre : les autres ont déjà fait leur choix. La bataille s’annonce serrée.
Ces derniers mois, la presse des États-Unis s’est interrogée sur les sondages qui montrent d’importants gains de Donald Trump auprès de l’électorat noir, en particulier chez les hommes. En Géorgie, Kamala Harris semble avoir rattrapé son retard. À moins qu’il existe un vote caché.
À l’approche du débat entre Kamala Harris et Donald Trump, mardi 10 septembre, entretien avec l’universitaire Randall Kennedy sur la manière dont la candidate démocrate négocie son identité noire dans la campagne. Pour lui, les deux victoires de Barack Obama ont changé la donne.
Alors que l’usage et les montants des pourboires se développent aux États-Unis, les deux principaux candidats à la Maison Blanche proposent de les défiscaliser. Une proposition qui fait cependant l’impasse sur les problèmes réels des salariés concernés.
Les messages diffamatoires, en vogue depuis 1952 à chaque campagne présidentielle américaine, furent longtemps l’exception débridée qui confirmait la règle démocratique. Ils tendent à devenir la norme d’un système détraqué prompt à contaminer l’univers.
Depuis 2010 et une décision de la Cour suprême, les dépenses lors des campagnes électorales atteignent des sommes astronomiques, en particulier lors de la présidentielle. Le poids des plus grosses fortunes et le manque de transparence malmènent l’équité du scrutin.
La convention nationale démocrate s’est refermée jeudi 22 août à Chicago sur le discours de celle qui est désormais la candidate investie face à Donald Trump. « Le futur est arrivé », a lancé Hillary Clinton, tandis que de nouvelles têtes sont venues sous les projecteurs.
Pas facile d’attirer l’attention au milieu de la « Kamala-mania » qui déferle sur la convention nationale démocrate, le grand raout du parti qui s’est ouvert lundi 19 août à Chicago. Mais les défenseurs d’un embargo sur les armes à destination d’Israël restent mobilisés.
La vice-présidente des États-Unis sera intronisée candidate à l’élection présidentielle de novembre lors de la convention nationale démocrate, qui s’ouvre lundi 19 août à Chicago. Une étape symbolique pour une campagne qui a démarré en trombe.
Au début de l’année 2023, alors que Joe Biden semblait parti pour se représenter, Alexis Buisson, collaborateur de Mediapart aux États-Unis, publiait un livre aux éditions de l’Archipel intitulé « Kamala Harris, l’héritière ». Nous en republions aujourd'hui les bonnes feuilles.
Les opposants au président Nicolás Maduro, réélu officiellement pour un troisième mandat, prévoient de nouvelles manifestations samedi 17 août pour protester contre la fraude. Des experts de l’ONU ont jugé que le scrutin de la fin juillet manquait de « transparence » et d’« intégrité ».
Un peu moins de huit millions de personnes, soit près d’un quart de la population vénézuélienne, vivent déjà à l’étranger dans des conditions souvent dramatiques. La nouvelle crise politique à Caracas va aggraver cette situation, juge la chercheuse María Gabriela Trompetero.
À une semaine de la convention démocrate qui doit introniser sa rivale Kamala Harris, l’ancien président républicain a été reçu sur le réseau social X par son patron, avec tous les honneurs. Une nouvelle illustration du poids croissant de la « droite tech » dans le camp républicain.
L’ancien président argentin Alberto Fernández est poursuivi pour violences conjugales sur son ex-femme. Dans un retournement de situation dont il a le secret, son successeur d’extrême droite, Javier Milei, s’est dépêché d’y voir l’échec des politiques féministes qu’il abhorre.
Après la condamnation de quatre hommes pour le viol qu’elle a subi à New Bedford un an plus tôt, Jane Doe quitte le Massachusetts pour la Floride. La peur des représailles ne la quitte pas. Son frère Andy et son amie Liz racontent à Mediapart leur enfance, et la descente aux enfers.
Les Jeux de Paris ont été marqués par les huées nourries à l’égard de sportifs argentins, après le chant raciste des footballeurs de la sélection nationale. Dans un entretien, le militant antiraciste Alejandro Mamani revient sur la polémique et insiste sur la diversité présente au sein de l’équipe de football argentine.