Pénuries énergétiques et alimentaires, coupures d’électricité… les habitants de l’île de l’océan Indien vivent un calvaire et le pays, dirigé par le clan Rajapaksa, s’enfonce dans la crise. Lundi, un nouveau gouvernement a été dévoilé.
Les élections législatives cruciales de l’Uttar Pradesh, État le plus peuplé de l’Inde, touchent à leur fin. À Varanasi, ville symbole religieuse et politique, le parti BJP tente de conserver le pouvoir dans un contexte de mécontentement économique et social.
L’Assemblée générale de l’ONU a adopté mercredi une résolution réclamant à Moscou de retirer « sans conditions toutes ses forces militaires » d’Ukraine. L’armée russe se rapproche de la capitale Kiev. Nos infos sur les pertes militaires russes. Et notre analyse sur l'Inde qui rechigne à condamner l'agression de Poutine.
Baptisé « Tek Fog », cet outil numérique serait capable du pire en matière de manipulation de la démocratie, selon une enquête du site The Wire. Des révélations pour l’instant sans grandes conséquences pour le pouvoir en Inde.
Lors de la COP26, l’Inde a fait valoir son droit à une « utilisation responsable » du combustible fossile. Mais sur le terrain, la relance du secteur portée par le gouvernement se fait en l’absence totale de normes environnementales et sociales.
Le groupe de défense européen entretient un partenariat étroit avec le conglomérat indien Bharat Electronics Limited, fournisseur important de l’armée birmane. De nombreux éléments laissent penser qu’il pourrait violer l’embargo sur les livraisons d’armes. Trois ONG l’interpellent.
Lors de la COP26, 100 pays se sont engagés à mettre fin à la déforestation et la dégradation des terres d’ici à 2030. L’Inde n’en fait pas partie. Pourtant, selon Global Forest Watch, 1 200 km2 de forêts primaires y ont disparu entre 2014 et 2018. Les programmes proposés par le gouvernement de Modi sont insuffisants.
Alors que les élections législatives approchent, le BJP, parti nationaliste de Narendra Modi, en chute dans les sondages, veut reprendre la main. Mais en dehors du culte du chef, le mouvement peine à trouver sa ligne.
En misant sur les théories extrémistes hindoues, le présentateur vedette Arnab Goswami a construit un empire en lançant Republic TV. À coups de slogans chocs, de banderoles agressives et de « scoops », la chaîne a révolutionné le style télévisuel du pays. Mais Arnab Goswami est devenu un prêcheur de haine antimusulmane au service des nationalistes hindous au pouvoir.
Les importants investissements de New Delhi en Afghanistan volent en éclat. À la fois trahie par l’allié américain et damée par le Pakistan, l’Inde voit sa stratégie en Asie centrale ébranlée.
Signe d’une pandémie qui a ruiné et ravagé les campagnes, de nombreux corps sont abandonnés sur les rives du Gange, dans l’Uttar Pradesh. Les images choquent le pays, car la tradition hindoue exige une crémation.
Le parti nationaliste hindou du premier ministre indien Narendra Modi, le Bharatiya Janata Party (BJP), a perdu dimanche au Bengale-Occidental, État clé de 91 millions d’habitants, dans des élections régionales très disputées et marquées par des actes de violence.