Écrivain, réalisateur, punk rock, sousveillance et contre-filatures, David Dufresne vient de réaliser « Un pays qui se tient sage », son premier long métrage au cinéma, soutenu par la Quinzaine des réalisateurs de Cannes 2020.
Auparavant, il a publié « Dernière sommation » (Grasset, 2019), son premier roman, après une dizaine d’ouvrages d’enquête dont « On ne vit qu’une heure, une virée avec Jacques Brel » (Le Seuil, 2018) et « Tarnac, magasin général » (Calmann Lévy, Prix des Assises du Journalisme 2012), salué comme « un petit chef d’œuvre » par Le Monde.
En 2019, il a a reçu le Grand Prix du Journalisme 2019 aux Assises internationales du Journalisme pour son projet Allo Place Beauvau sur les violences policières, travail reconnu par l’ONU, le Conseil de l’Europe et le Parlement européen.
Il a remporté le World Press Photo 2011 catégorie œuvre non linéaire pour son webdocumentaire Prison Valley (avec Philippe Brault), qui lui a ouvert les portes du MIT Open Documentary lab, où il fut artiste en résidence deux années.
Dans le cadre de la surveillance présumée d'Olivier Besancenot par une officine privée, les recherches policières semblent avancer à grands pas. En creux, elles dévoilent aussi les étranges manies de certains fonctionnaires. La garde à vue du directeur de SMP Technologies, Antoine Di Zazzo, qui commercialise le pistolet électrique Taser en France, elle, a été prolongée.Lire aussi:Quand le PDG de Taser France démentait
Dans le cadre de la surveillance présumée d'Olivier Besancenot par une officine privée, les recherches policières semblent avancer à grands pas. En creux, elles dévoilent aussi les étranges manies de certains fonctionnaires.
Antoine Di Zazzo, le directeur de SMP Technologies, qui commercialise le pistolet électrique Taser en France, est en garde à vue depuis mardi 14 octobre. Motif: l'espionnage présumé d'Olivier Besancenot (LCR). Il y a quelque temps, Mediapart avait rencontré Antoine Di Zazzo. Qui démentait catégoriquement toute implication.
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Des mois que j'écrivais, frénétiquement, cette petite fable d'un monde fascinant et fascisant: le nôtre. Au cœur des pouvoirs (médias, État, ultras), de la société du spectacle, de la #Presidentielle2022 et d'une... guerre qui vient d'éclater. «19h59» (Grasset)
Le 18 novembre, c'était le procès à Paris du commandant divisionnaire Dominique Caffin. Le 20 avril 2019, seul « le chef » (à l'audience, l'homme a insisté sur son rôle de chef, et c'est bien le problème) a foncé sur Mélanie Ngoye-Gaham. Compte rendu d'audience.
Ce vendredi, c’était le grand jour au tribunal judiciaire de Paris. Les agissements d’Alexandre Benalla et de son acolyte Vincent Crase, place de la Contrescarpe, le 1er mai 2018. Amusante, instructive et (enfin) singulièrement politique, cette audience a beaucoup raconté les turpitudes républicaines.
En ce jour de confinement 3, au Sénat, il se trouvait des représentants du peuple pour démolir nos/leurs libertés. Le spectacle était terrible. C’était affligeant. Drones pour tous, et pour tout ; reconnaissance faciale qu’on s’interdit d’interdire ; privatisation de la sécurité. Et article 24 adopté.
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