Journaliste à Mediapart depuis décembre 2020, j'ai travaillé à Loopsider, BuzzFeed et Rue89 auparavant. J'écris principalement sur les sujets liés aux discriminations.
Jugé pour corruption de mineurs sur deux jeunes de 15 ans et un autre de 16 ans, l’animateur de CNews a été condamné lundi à un an de prison avec sursis.
Lors de la polémique qui visait Sciences Po Grenoble en mars 2021, certains journalistes à l’instar de Pascal Praud et Caroline Fourest, avaient accusé à tort une enseignante. Après avoir subi une vague de cyber-harcèlement, celle-ci avait porté plainte contre dix personnes.
Deux policiers de la ville ont été révoqués après avoir tenté de dissimuler des violences sur mineurs lors d’une interpellation en mars 2021. L’un d’eux, désormais en poste au Blanc-Mesnil, est aussi accusé d’avoir uriné sur ces jeunes et sera jugé le 15 décembre à Bobigny.
À l’appel du collectif féministe #NousToutes, des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans toute la France pour dénoncer les insuffisances du gouvernement en matière de lutte contre les violences de genre.
Les récents propos racistes lancés par un député RN à l’Assemblée nationale ont fait remonter des souvenirs poisseux chez bon nombre de responsables politiques qui ont eu à subir des insultes, des menaces et des préjugés en raison de leur couleur de peau. Ministres, députés, élus locaux ou cadres de parti, Mediapart les a interrogés pour tenter de tracer les contours de leur expérience.
Le polémiste d’extrême droite était jugé vendredi à Paris après la plainte de l’ex-chroniqueuse de C8 pour injure publique à caractère racial. 20 000 euros d’amende ont été requis par la procureure.
Cet établissement parisien hors contrat présenté comme « coranique », « clandestin » et « séparatiste » a été fermé par les autorités en décembre 2020. La cour d’appel a confirmé vendredi cette décision. En cause : le non-respect de normes de sécurité.
La cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation du journaliste pour « injure publique à raison de l’origine », jeudi 27 octobre, et allégé son amende. Linda Kebbab, déléguée nationale du syndicat de police Unité SGP-FO, avait porté plainte contre l’un de ses tweets après avoir été qualifiée d’« Arabe de service ».
Jugé lundi pour corruption de mineurs sur deux jeunes de 15 ans et un autre de 16 ans, l’animateur de CNews a juré n’avoir pas d’attrait pour les enfants. Sa défense, torpillée par le procureur, paraît bien fragile.
Après le suicide de la jeune fille en octobre 2021 et six mois d’enquête, la procureure de Mulhouse a classé l’affaire, estimant que le harcèlement scolaire n’était pas constitué. En colère, la famille s’appuie sur de nombreux éléments du dossiers, consultés par Mediapart, pour contester ces conclusions.
La ville de Valence renonce à vendre un terrain à une école privée musulmane hors contrat après des alertes émises par la préfecture et par « Charlie Hebdo ». Des documents obtenus par Mediapart démentent pourtant l’intégralité des accusations portées par le journal satirique.
Cet établissement parisien hors contrat présenté comme « coranique », « clandestin » et « séparatiste » a été fermé par les autorités en décembre 2020 et sa directrice était jugée en appel à Paris ce vendredi. Mais deux ans après, rien dans le dossier consulté par Mediapart ne vient étayer ces accusations.