Documentaire : Co-réalisateur de « Guet-Apens. Des crimes invisibles » (2023, produit par Mediapart) avec Sarah Brethes et Mathieu Magnaudeix.
Livre : « La Haine ordinaire. Des vies percutées par le racisme » (Seuil) sous la direction de Mathilde Mathieu.
Pour me contacter : david.perrotin@mediapart.fr
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Lors de la polémique qui visait Sciences Po Grenoble en mars 2021, certains journalistes, à l’instar de Pascal Praud et Caroline Fourest, avaient accusé à tort une enseignante qui avait ensuite subi une vague de cyberharcèlement. Dix personnes ont été condamnées ce vendredi.
Le polémiste d’extrême droite a été condamné ce jeudi pour « injure publique à caractère raciste » après ses propos tenus contre l’ex-chroniqueuse de C8 en septembre 2018.
La responsable des plannings au sein de la chaîne d’info est décriée par de nombreux journalistes pour ses méthodes brutales. En novembre dernier, le pigiste, qu’elle a qualifié de « fiotte », a été écarté après avoir dénoncé ses propos.
Cédric G. était jugé jeudi par le tribunal de Bobigny pour violences et exhibitions sexuelles. Si le procureur exigeait six mois de prison ferme, les juges sont allés plus loin du fait d’une précédente condamnation.
Alors que l’hebdo avait promis de faire son autocritique en publiant une enquête pour revenir sur ses fausses accusations visant le couple LFI, la direction l’a finalement enterrée. Sur la base de documents internes, Mediapart retrace les coulisses de ce fiasco, prédit deux mois avant par des salariés.
Jugé pour corruption de mineurs sur deux jeunes de 15 ans et un autre de 16 ans, l’animateur de CNews a été condamné lundi à un an de prison avec sursis.
Lors de la polémique qui visait Sciences Po Grenoble en mars 2021, certains journalistes à l’instar de Pascal Praud et Caroline Fourest, avaient accusé à tort une enseignante. Après avoir subi une vague de cyber-harcèlement, celle-ci avait porté plainte contre dix personnes.
Deux policiers de la ville ont été révoqués après avoir tenté de dissimuler des violences sur mineurs lors d’une interpellation en mars 2021. L’un d’eux, désormais en poste au Blanc-Mesnil, est aussi accusé d’avoir uriné sur ces jeunes et sera jugé le 15 décembre à Bobigny.
À l’appel du collectif féministe #NousToutes, des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans toute la France pour dénoncer les insuffisances du gouvernement en matière de lutte contre les violences de genre.
Les récents propos racistes lancés par un député RN à l’Assemblée nationale ont fait remonter des souvenirs poisseux chez bon nombre de responsables politiques qui ont eu à subir des insultes, des menaces et des préjugés en raison de leur couleur de peau. Ministres, députés, élus locaux ou cadres de parti, Mediapart les a interrogés pour tenter de tracer les contours de leur expérience.
Le polémiste d’extrême droite était jugé vendredi à Paris après la plainte de l’ex-chroniqueuse de C8 pour injure publique à caractère racial. 20 000 euros d’amende ont été requis par la procureure.
Cet établissement parisien hors contrat présenté comme « coranique », « clandestin » et « séparatiste » a été fermé par les autorités en décembre 2020. La cour d’appel a confirmé vendredi cette décision. En cause : le non-respect de normes de sécurité.