A Mediapart, j'enquête sur les injustices environnementales, les pollutions industrielles, l'écologie urbaine. Et aussi sur le nucléaire.
Auparavant, j'ai travaillé aux Inrockuptibles.
J'ai écrit plusieurs livres, dont Eloge des mauvaises herbes. Ce que nous devons à la ZAD (Les Liens qui libèrent, 2018), Je crise climatique. La Planète, ma chaudière et moi (La Découverte, 2014), Le Ba-ba du BHL, avec Xavier de la Porte (La Découverte, 2004), et La France Invisible (La Découverte, 2006).
J'ai été membre du comité de rédaction de la revue Mouvements.
Je participe à la commission Diversités de Mediapart, qui tente d'oeuvrer contre les discriminations et les mécanismes de domination au sein de l'entreprise. Et j'ai coprésidé la Société des journalistes (SDJ) de Mediapart.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Dans Mon neveu Jeanne, le photographe et écrivain Patrick Bard livre le portrait singulier de son neveu Jean-Pierre, chauffeur routier, devenu femme, avant de revenir au genre masculin.
L’accord de Paris sur le climat ne crée pas seulement un nouveau régime juridique pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : il produit aussi une nouvelle cartographie d’acteurs, d’alliances et de rapports de force.
Les 195 États réunis au Bourget pour la COP21 adoptent un accord historique pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais son manque d’ambition en affaiblit la portée et ne permet pas d’empêcher le réchauffement de la planète.
C'est le sujet le plus important de la négociation sur le climat et c'est pourtant le moins discuté à l'extérieur du cercle des spécialistes. Technique, ultrasensible, opaque, la question du financement reflète la violence de l'affrontement entre trois mondes : les anciennes puissances industrielles, les pouvoirs émergents et les pays les plus pauvres, éternels oubliés.
Essayiste, activiste : Naomi Klein est l'une des critiques les plus populaires et les plus écoutées de la mondialisation néolibérale et des régressions autoritaires qui l'accompagnent. À l'occasion de la COP21 et en écho à son dernier livre sur le sujet, Tout peut changer, elle était l'invitée de Mediapart.
En 2014, le fonds d’investissement de la famille Rockefeller, héritière de la Standard Oil, l’entreprise fondatrice de l’industrie pétrolière américaine, stupéfie le monde économique en annonçant sa décision de désinvestir des énergies fossiles.
À mi-temps du sommet sur le climat, un nouveau brouillon d’accord est sur la table. Financement, différenciation des responsabilités, transparence : les désaccords persistent sur des sujets majeurs, malgré un sentiment d’optimisme qui se diffuse entre les négociateurs.
Obligation de moyens plus que de résultats, sanctions réputationnelles, passages en revue obligatoires des objectifs de réduction des gaz à effet de serre : les scénarios se précisent pour aboutir à un accord sur le climat en partie « contraignant ». Même Barack Obama a utilisé le terme hier.
La COP21 a officiellement démarré lundi 30 novembre au Bourget. Pour ce premier jour du sommet sur le climat, les chefs d'État ont mis en scène leur volontarisme. Mais dans leur morale d’action, ils ont glissé beaucoup d’intérêts économiques. « Nous sommes la première génération à voir le dérèglement climatique se produire, nous sommes la dernière à pouvoir y faire quelque chose », a déclaré Barack Obama.
Pour ce sixième et dernier épisode, l'essayiste explique pourquoi la mobilisation citoyenne des « lignes rouges » est plus que jamais d'actualité, malgré la signature d'un accord au Bourget.
Après l’assignation à résidence en 48 heures de vingt-quatre militants en lien avec le sommet de l’ONU sur le climat (COP21), l’Élysée veut mettre un terme à ces mesures. C'est du moins ce que le chef de l'Etat a annoncé lors d’une rencontre avec les représentants d’une douzaine d’ONG samedi.
La COP21 s’ouvre au Bourget dans des circonstances exceptionnelles. Un accord est à portée de main mais beaucoup de doutes demeurent sur le sens de ces négociations.
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Du 29 juin au 1er juillet, plusieurs centaines de personnes ont successivement occupé et bloqué un terminal cimentier, trois centrales à béton et un dépôt de sable et granulats de Lafarge-Holcim, ainsi qu’une usine de béton d’Eqiom. Des dégradations y ont été volontairement commises pour empêcher le redémarrage des machines.
La crise du coronavirus révèle à quel point nos systèmes de défense sociaux sont défaillants : pas assez de moyens dans les hôpitaux, pas assez de moyens dans les écoles, pas assez de production locale pour s'affranchir des flux de la mondialisation. Et pas assez de culture démocratique.
L'ingénieur et économiste, spécialiste de l'énergie et critique rigoureux du nucléaire, est mort dimanche 6 octobre. Il fut l’un des grands défenseurs de la transition énergétique et un acteur important de la critique du modèle français.
Les violences policières et judiciaires vécues par des Gilets Jaunes, des militant·e·s anti nucléaires, celles et ceux qui aident les migrant·e·s, des lycéen·ne·s et des habitant·e·s des quartiers populaires sont-elles de même nature? Un collectif se forme pour tenter une riposte commune.
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