jean-pierre perrin

Ses Derniers articles
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La Russie veut chasser l’Iran du sud de la Syrie
Vladimir Poutine a reçu Bachar al-Assad le 18 mai à Sotchi. © Reuters
À la veille d’une grande offensive que le régime syrien souhaite lancer contre Deraa, point de départ de la révolte syrienne en mars 2011, Moscou a demandé le retrait « dès que possible » des forces non syriennes des régions frontalières d’Israël. Satisfaction de l’État hébreu. Colère rentrée à Téhéran.
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Moqtada al-Sadr, le petit religieux irakien qui défie l’Iran et les Etats-Unis
Une affiche de Moqtada al-Sadr, à Bagdad, en Irak, le 19 mai 2018. © Reuters
C’est le triomphe des déshérités. Grâce à sa popularité dans les quartiers pauvres, la liste qu’il patronne est arrivée en tête des législatives. Ce fils d’un grand ayatollah assassiné par Saddam Hussein dénonce la corruption et les ingérences étrangères en Irak. Il est la bête noire de Téhéran et de Washington.
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Les sanctions américaines cimentent le régime iranien
Federica Mogherini, représentante de l’UE, et les ministres des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian (France), Heiko Maas (Allemagne) et Boris Johnson (Royaume-Uni) avec leur homologue iranien, Javad Zarif, le 15 mai à Bruxelles. © Reuters
Soutenu par les différentes factions du régime islamique, l’accord sur le nucléaire iranien signé à Vienne en 2015 vaut aujourd'hui au président Rohani d’être épargné par les critiques. La décision de Trump a aussi revivifié le sentiment national au profit du pouvoir. Mais l’économie risque de souffrir terriblement du rétablissement des sanctions.
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Avec les législatives, le nationalisme revient en force en Irak
Bagdad, vendredi 4 mai. Des militants chiites arborent un poster de l'ayatollah Ali al-Sistani. © REUTERS/Alaa al-Marjani
Quarante coalitions issues de 200 listes vont s’affronter samedi 12 mai lors du premier scrutin depuis la reprise de Mossoul à l’État islamique. Le grand ayatollah Sistani, le plus respecté du monde chiite, a sermonné les candidats, dénoncé leur corruption et pris ses distances avec Téhéran. Il a aussi défendu l’idée d’un Irak… séculier.
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Face à Trump, les Européens sans stratégie
Donald Trump et Emmanuel Macron à la Maison Blanche, le 23 avril. © Reuters
Humiliés par Donald Trump, les dirigeants européens veulent sauver les intérêts de leurs entreprises en Iran, mais aussi leur partenaire iranien, le président Hassan Rohani. « Ce n’est pas la fin de l’histoire », tempère l’Élysée.
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Nucléaire iranien: Trump a choisi la ligne la plus dure
À la Maison Blanche le 8 mai 2018. © Reuters / Jonathan Ernst.
Le président des États-Unis a mis sa menace à exécution, en annonçant le 8 mai le retrait de son pays de l’« accord pourri » conclu avec l’Iran. Les conséquences s’annoncent immenses. Le président iranien s’est gardé de toute surenchère.
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«Il y a encore des dizaines de cadavres dans les rues de Mossoul»
Mossoul, janvier 2018. © Reuters
Enquêtrice pour Amnesty International, Donatella Rovera revient d’Irak et de Raqqa, en Syrie. Elle raconte le désespoir des populations abandonnées à leur sort après la défaite de l’État islamique. Et leur souffrance de ne pas être considérées comme des victimes. -
Frappes en Syrie: un avertissement pour Damas
Des tirs antiaériens sont observés au-dessus de Damas, en Syrie, samedi 14 avril 2018. © REUTERS/Feras Makdesi
Les frappes menées contre les installations syriennes vont réduire la capacité du régime Assad à mener d’autres attaques chimiques contre les dernières poches qui lui résistent, en particulier la grande province d’Idlib. Elles pourraient conduire à une reprise des négociations en vue d’une solution politique.
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Pourquoi Assad veut en finir avec la Ghouta
A l'est de la Ghouta, le 28 février 2018. © Reuters
Le contrôle de la dernière enclave rebelle à proximité de la capitale syrienne est décisif pour le régime de Bachar al-Assad. Après l’utilisation d’armes chimiques contre la ville de Douma, Damas dénonce une manipulation de l'opposition, et cherche à anticiper une potentielle riposte.
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Derrière Malala, d’autres Pakistanaises risquent leur vie
L’écolière gravement blessée par les talibans et lauréate du prix Nobel est revenue dans son pays. Elle est l’une de ces héroïnes tragiques auxquelles un sociologue de Karachi vient de consacrer un livre en français. Parmi elles, Farzana, qui, au péril de sa vie, informe sur le Baloutchistan.
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