Michel de Pracontal

Journaliste scientifique, j'ai travaillé à Science et Vie, à L'Evénement du Jeudi, et au Nouvel Observateur (de 1990 à 2009). Je suis aussi auteur de plusieurs livres dont le dernier, Kaluchua, est paru au Seuil en 2010. Sur twitter: @MicheldePrac.

Tous ses articles

  • Mediator: l'administration savait tout dès 1995

    France

    Une note inédite d'octobre 1995 révèle que l'Agence du médicament savait dès le début que le Mediator était un anorexigène et que sa «sécurité d'emploi» faisait l'objet d'une surveillance par les centres de pharmacovigilance.

  • « Sortir du nucléaire va provoquer un boom économique »

    Énergies — Vidéo

    Le débat sur la sortie du nucléaire n'est pas forcément passéiste. Il peut être porteur d'innovation et de croissance, estime le réalisateur de documentaire Alain de Halleux (Nucléaire RAS et Tchernobyl 4ever). Qui accuse d'abord le système économique de pousser à la catastrophe.

  • Fukushima, «ce ne serait pas la fin du monde»

    International

    Un nouveau scénario-catastrophe se profile à la centrale de Fukushima Daiichi : celui d'un accident de «criticité», dans lequel une réaction en chaîne redémarrerait au sein d'un réacteur, provoquant un dégagement incontrôlé d'énergie et de rayonnement. L'AIEA reste optimiste!

  • Brouillage d’information sur Fukushima

    International

    Malgré une situation catastrophique qu'il échoue à maîtriser, Tepco, l'exploitant de la centrale, persiste à faire de la rétention d'information.

  • Les 140.000 oubliés de la centrale de Fukushima

    International

    Depuis le 12 mars, 140.000 personnes vivant dans la région de Fukushima sont exposées à une très forte contamination radioactive, dans l'indifférence des autorités japonaises. Les techniciens ne parviennent pas à enrayer les fuites radioactives de la centrale nucléaire qui est décrite comme étant dans un état catastrophique.

  • La centrale de Fukushima Daiichi était une bombe à retardement

    Asie et Océanie

    Dissimulation, négligence, mépris des avertissements: les ingénieurs de Tepco, l'exploitant de la centrale sinistrée, ont ignoré le «B.A BA» de la sûreté.

  • Eau de mer et épinards radioactifs à Fukushima

    International

    Alors qu'au Japon, «la situation à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi reste très grave», selon les termes de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), les indices de contamination radioactive se multiplient.

  • Situation confuse et précaire à Fukushima

    International

    Rien n'est réglé sur le site de la centrale accidentée, où la course contre la montre continue pour refroidir les piscines et les cœurs des réacteurs.

  • Japon: les mensonges de Tepco

    International

    Premier producteur privé au monde d'électricité nucléaire, Tepco, la firme japonaise qui exploite notamment la centrale de Fukushima, a une longue tradition d'opacité.

  • À Fukushima, l’armée en extrême urgence

    Asie et Océanie

    Avec l'aide de l'armée et de la police de Tokyo, Tepco, l'exploitant de la centrale, s'efforce par tous les moyens de stopper le désastre.

  • Chaos et échecs en série à Fukushima

    International

    Informations contradictoires, tentatives avortées pour refroidir les réacteurs en surchauffe, appel à l'armée américaine... Le désordre règne à Fukushima.

  • Japon: la catastrophe nucléaire avait été prévue

    Asie et Océanie

    Dès 2006, le sismologue Ishibashi Katsuhiko s'inquiétait de la vulnérabilité des centrales nucléaires japonaises et claquait la porte d'un comité d'experts. Ses avertissements n'ont pas été entendus. Ils décrivent exactement ce qui est en train de se produire.

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Michel de Pracontal

Journaliste à Mediapart

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