Pauline Graulle

J'ai rejoint Mediapart en avril 2018 pour couvrir les gauches, et aujourd'hui, la vie parlementaire.

Déclaration d’intérêts

Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.

Consultez ma déclaration d’intérêts

Tous ses articles

  • Les propos de Darmanin sur la LDH créent un début de malaise dans la majorité présidentielle

    Politique

    Si le silence continue de rester la règle au sein de la Macronie, quelques voix, timides, s’élèvent, pour prendre leurs distances avec les propos du ministre de l’intérieur qui a mis en cause le financement de l’association de défense des droits de l’homme.

  • À l’Assemblée, le PS hésite à intégrer une députée dissidente

    Parlement

    L’hypothèse de l’entrée dans le groupe PS de Martine Froger, élue en Ariège contre la députée insoumise sortante investie par la Nupes, cristallise les tensions à gauche.

  • Karim Ben Cheikh, l’écologiste qui s’aligne sur le régime marocain

    Parlement

    Candidat à sa réélection comme député des Français de l’étranger, cet élu de la Nupes prend régulièrement fait et cause pour le royaume du Maroc, notamment au sujet du Sahara occidental. Un positionnement inhabituel à gauche, qui fait tiquer les défenseurs des droits humains au Maroc.

  • Comment la Grande Famine ukrainienne de 1933 est venue percuter la gauche française

    Parlement

    Les Insoumis ainsi que deux communistes ont refusé de voter une résolution de l’Assemblée nationale pour qualifier de génocide « l’Holodomor » orchestré par Staline il y a quatre-vingt-dix ans. Alors que cet épisode est toujours l’objet de controverses chez les historiens, la gauche s’est, une fois encore, montrée désunie.

  • Face aux violences policières, les macronistes entre déni et tétanie

    Politique

    Après les violences perpétrées par les forces de l’ordre dans les manifestations contre la réforme des retraites et à Sainte-Soline, les élus de la majorité présidentielle refusent d’interroger la pratique globale du maintien de l’ordre et se bornent à « rendre hommage » à la police.

  • François Ruffin : « La masse, le nombre, c’est le seul chemin pour la victoire » 

    Retraites — Entretien

    Violence, place des syndicats, rôle du Président… Le député insoumis de la Somme livre son analyse sur la bataille des retraites, qui a rouvert à ses yeux, en plus d’une crise sociale, une profonde crise démocratique. Il pense qu’elle peut néanmoins être un tremplin pour la gauche.

  • L’intervention de Macron ne rassure pas les dépités de la majorité

    Parlement — Reportage

    Déclenchant la fureur des oppositions et des responsables syndicaux, l’entretien télévisé du chef de l’État n’a guère rassuré les membres de sa propre majorité, où « les charmes présidentiels n’opèrent plus », selon l’expression d’une députée macroniste.

  • La censure passe tout près : la légitimité de Macron ruinée, ses opposants revigorés

    Retraites — Analyse

    L’échec, à 9 voix près, de la motion de censure transpartisane ne parviendra pas à rendre la réforme des retraites légitime. À l’Assemblée nationale, tous s’interrogent sur le coup d’après pour Emmanuel Macron, toujours plus isolé. La gauche, elle, mise beaucoup sur la rue. 

  • Du 49-3 à la motion de censure : le récit d’un naufrage présidentiel

    Retraites

    Depuis qu’Emmanuel Macron a décidé d’utiliser le 49-3 pour faire passer sa réforme des retraites en force, les élus de sa majorité se cachent, en attendant le vote des motions de censure contre le gouvernement. La colère des manifestants, elle, s’exprime de plus en plus librement.

  • Après le 49-3, que reste-t-il aux oppositions pour gagner la bataille ?

    Politique

    Alors que la mobilisation sociale continue dans la rue, les oppositions disposent de trois leviers constitutionnels pour empêcher l’application de la réforme des retraites : la motion de censure, un recours au Conseil constitutionnel et un référendum d’initiative partagée.  

  • La réforme des retraites termine chaos debout à l’Assemblée

    Parlement — Reportage

    La première ministre a pris la parole dans un hémicycle survolté pour annoncer le 49-3 sur la réforme des retraites. Une décision qui montre que le gouvernement a définitivement perdu sa majorité à l’Assemblée, et ouvre une crise politique et institutionnelle majeure.

  • Réforme des retraites : un accord et beaucoup de colère

    Retraites — Reportage

    Réunis en petit comité pour réécrire le texte qui devrait être soumis au vote jeudi 16 mars, le gouvernement et le parti Les Républicains ont adopté un « compromis ». Dénonçant un « coup de force » démocratique, la gauche a largement levé le voile sur les discussions censées se tenir à huis clos.