Né en 1971. Après de nombreuses années passées aux États-Unis, à Los Angeles, Washington et New York, ainsi que de multiples reportages aux quatre coins de la planète, je suis rentré à Paris en 2008 pour couvrir l'actualité internationale à Mediapart.
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Depuis le début de l'été, et sous couvert de protestations contre la réforme de l'assurance-santé, de nombreux conservateurs américains s'en prennent au président des Etats-Unis avec une violence et des épithètes qui laissent peu de doute sur leurs sentiments profonds: ils acceptent mal la réalité d'un homme noir à la Maison Blanche.
En dépit de l'acharnement des conservateurs à faire dérailler lesambitions présidentielles et de la tonalité très pessimiste des médiasaux États-Unis, la majorité des Américains se déclare toujoursfavorable aux projets de réformes. Barack Obama doit désormais déciders'il s'implique véritablement dans un dossier susceptible de défaire saprésidence.
Quatrième épisode de notre série sur l'Europe centrale. Pour de nombreux Polonais, le retour dans le giron européen (par opposition à la sphère soviétique) allait de soi, comme un retour au berceau. A fortiori pour les habitants de Gdansk, une cité modelée par l'histoire du continent. Rencontre avec le père Maciej Zieba, pionnier du syndicat Solidarnosc.
Vingt ans après la chute du Mur, troisième volet de notre série de reportages en Europe centrale: Gdansk d'où tout est parti. C'est dans cette ville du nord de la Pologne, en 1980, que les premières brèches ont été creusées dans le rideau de fer. Plusprécisément sur les chantiers navals Lénine. Aujourd'hui, sil'ancienne Dantzig essaie d'attirer les touristes allemandsnostalgiques, son cœur continue de battre au rythme de l'épopéeglorieuse de Solidarité et de Lech Walesa, rencontré à une terrasse de café.
Deuxième volet de notre série de reportages à l'occasion du vingtième anniversaire de la chute du Mur. En 1989, un géographe français a déterminé que le centre précis de l'Europe se situait dans un champ à l'extérieur de Vilnius, la capitale de la Lituanie, alors partie intégrante de l'URSS. Depuis, les Lituaniens n'en démordent pas : ils sont des Européens à part entière. Et l'un d'eux a décidé de le montrer en sculptures.
Mediapart vous propose pendant deux semaines une série exceptionnelle de reportages en Europe centrale. En novembre sera commémoré le vingtième anniversaire de la chute du Mur de Berlin. Mais c'est tout au long de l'été et de l'automne 1989 que, l'un après l'autre, les peuples des ex-pays de l'Est se sont libérés des régimes communistes. Le «rideau de fer», cette frontière étanche séparant l'empire soviétique de l'Occident, symbole de la guerre froide, a été mis en pièces dans une série de révolutions (presque) pacifiques. Ce mouvement initié en 1989 s'est poursuivi avec l'effondrement de l'URSS et l'indépendance des trois pays baltes en 1991. De la mer Baltique à la mer Noire, de la Lituanie à la Bulgarie, Mediapart a arpenté cette ancienne frontière qui est aujourd'hui la nouvelle colonne vertébrale de l'Europe. Portraits, reportages, découvertes, histoires. Notre premier volet:
Le quatrième et dernier frère Kennedy est décédé ce matin à l'âge de 77 ans. Moins charismatique et moins ambitieux que ses aînés, sa carrière de sénateur des Etats-Unis et de figure morale de la gauche aura néanmoins contribuée à marquer davantage le pays.
Alors que le premier tour de l'élection présidentielle est loin d'avoir dissipé toutes les incertitudes, il restait une dernière question à poser afin de refermer la série de reportages de l'envoyé spécial de Mediapart en Afghanistan, Thomas Cantaloube. Il s'agit bien évidemment de la pertinence de la présence de dizaines de milliers de soldats étrangers sur le sol afghan. Font-ils partie du problème, ou sont-ils un élément de solution aux guerres qui ravagent le pays depuis trente ans ?
Suite et fin de la série de reportage de l'envoyé spécial de Mediapart en Afghanistan, Thomas Cantaloube. Aujourd'hui, les talibans, leur influence, leurs réseaux, leurs adversaires.Cliquez sur l'image pour lancer le sommaire de la série.
Les réclamations et contestations affluent après les élections. Le principal adversaire d'Hamid Karzaï, Abdullah Abdullah, accuse le camp duprésident de fraude à grande échelle. Les deux hommes se disenten tête du premier tour dont les résultats ne seront connus que le 17 septembre.
Avant-dernière étape du Journal d'Afghanistan: la difficile condition de la femme afghane.
Hamid Karzaï, président sortant, et ledocteur Abdullah, son principal rival, revendiquent tous deux lavictoire au premier tour de la présidentielle, mais les résultats ne seront pas connusavant le 17 septembre. Le gouvernement a fait état de 135 incidents,liés aux menaces des talibans. Neuf civils et quatorze membres des forces desécurité ont été tués. Suite du Journal d'Afghanistan de Mediapart: voyage au centre de l'aide internationale dont l'efficacité reste à prouver.
L'élection présidentielle afghane a eu lieu le 20 août. Le taux de participation atteindrait 50%. Hamid Karzaï, président sortant, et le docteur Abdullah, son principal rival, revendiquent tous deux la victoire au premier tour. Les résultats définitifs ne seront pas connus avant le 17 septembre. Le gouvernement a fait état de 135 incidents, liés aux menaces des talibans. Neuf civils et 14 membres des forces de sécurité ont été tués. Récit, des rues de la capitale, d'une journée électorale pas comme les autres.
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Pourquoi écrire un roman lorsqu’on est journaliste? Au moment où sort mon premier roman, « Requiem pour une République » (Gallimard - Série Noire), ma réponse à la question du choix de la fiction est des plus simples: la liberté d’écriture.
Dans une rentrée littéraire française foisonnante, la parution du Tome 4 de la saga Millénium, intitulé « Ce qui ne me tue pas », ressemble plutôt à la sortie d’un film de super-héros hollywoodien. Un Avengers 4, un reboot en même temps qu’un sequel, pour utiliser les termes en vogue dans l’industrie du cinéma.
La campagne présidentielle d’Hillary Clinton est à peine lancée (18 mois en avance du scrutin tout de même) que tout ce qu’il y avait à craindre d’une telle candidature est déjà là : conflits d’intérêts, gros sous et amis embarrassants.
Le cinéaste Michel Gondry tourne depuis plusieurs semaines dans Paris et en banlieue sa version cinématographique de L'Ecume des Jours de Boris Vian. Le 17 juillet, il a installé ses décors, et notamment ses étranges véhicules, dans les rues du Haut Belleville.