Né en 1971. Après de nombreuses années passées aux États-Unis, à Los Angeles, Washington et New York, ainsi que de multiples reportages aux quatre coins de la planète, je suis rentré à Paris en 2008 pour couvrir l'actualité internationale à Mediapart.
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Journée d’espoir ou jour de crainte, lesAfghans qui se rendent aux urnes jeudi 20 août pour élire leur président nesavent pas sur quel pied danser. La tension étaitpalpable. Dix-sept millions d’électeurs (sur 33 millionsd’habitants) sont attendus dans les bureaux de vote. Tout l’enjeu de l’élection réside dans le taux de participation. Le président sortant Hamid Karzaï part favori mais son challenger, le docteur Abdullah, veut le priver d’unevictoire au premier tour. Dans le sixième volet de son Journal d'Afghanistan, Thomas Cantaloube, l'envoyé spécial de Mediapart, dresse le portrait de Hamid Karzaï, «démocrate incomplet».
L'Afghanistan doit élire son président, jeudi 20 août. Cinquième volet du Journal d'Afghanistan de l'envoyé spécial de Mediapart: tournée électorale avec le docteur Abdullah et Ramzan Bashardost, deux des 38 candidats à la présidentielle.
L'Afghanistan doit élire son président, le 20 août. La situation est trouble sur tous les plans – politique, militaire, humanitaire. Mediapart a dépêché sur place un envoyé spécial, Thomas Cantaloube. Chaque jour, au gré de l'actualité et de ses pérégrinations afghanes, il raconte la vie du pays telle qu'il l'a découverte. Quatrième volet de son Journal d'Afghanistan aujourd'hui. Au programme: reportage aux côtés des soldats français affectés à l'opération Epidote, chargés de former les officiers de l'armée afghane.
L'Afghanistan doit élire son président, le 20 août. La situation est trouble sur tous les plans – politique, militaire, humanitaire. Mediapart a dépêché sur place un envoyé spécial, Thomas Cantaloube. Chaque jour, au gré de l'actualité et de ses pérégrinations afghanes, il raconte la vie du pays telle qu'il l'a découverte. Troisième volet de son Journal d'Afghanistan aujourd'hui. Au programme: paroles de Kaboulis, recueillies dans une capitale au décor chaotique auprès des membres de la famille Haroon, de Mattiullah, qui vend de l'huile de moteur, et de Amanullah, le marchand de légumes secs.
L'Afghanistan doit élire son président, le 20 août. Un second tour pourrait être organisé entre les deux candidats arrivés en tête quinze jours plus tard. Les résultats ne seront pas connus avant le début du mois de septembre. La situation est trouble sur tous les plans – politique, militaire, humanitaire. Samedi 15 août, au moins sept civils afghans ont été tués et 91 personnes blessées dans un attentat suicide à la voiture piégée devant l'entrée du Quartier général de la force de l'Otan en plein centre de Kaboul. Cet attentat a été revendiqué par les talibans, qui ont affirmé avoir voulu viser l'ambassade des Etats-Unis à proximité, considérant le scrutin comme «une imposture orchestrée par les Américains». Chaque jour, l'envoyé spécial de Mediapart, Thomas Cantaloube, sur place depuis le 6 août, raconte ce qu'il voit du pays, de sa vie et de ses maux. Deuxième volet de son Journal d'Afghanistan aujourd'hui. Au programme: un entretien avec Haroun Mir, ancien aide de camp du commandant Massoud, directeur du principal think tank afghan, qui s'interroge sur la pertinence de l'élection présidentielle dans un tel climat d'instabilité.
L'Afghanistan doit élire son président, le 20 août. Un second tour pourrait être organisé entre les deux candidats arrivés en tête quinze jours plus tard. Les résultats ne seront pas connus avant le début du mois de septembre. La situation est trouble sur tous les plans – politique, militaire, humanitaire. Mediapart a dépêché sur place un envoyé spécial, Thomas Cantaloube. Chaque jour, au gré de l'actualité et de ses pérégrinations afghanes, il vous racontera la vie du pays telle qu'il l'a découverte. Premier volet de son Journal d'Afghanistan aujourd'hui. Au programme: une plongée au cœur de Kaboul, capitale paradoxale qui palpite malgré la menace des talibans, la présence de soldats étrangers et les ruines que les conflits successifs ont parsemées dans les rues.
Jamais autant de soldats américains et britanniques ne sont morts durant une période d'un mois depuis le début du conflit. L'offensive contre les Talibans dans la vallée d'Helmand est en partie responsable, mais c'est aussi le durcissement du conflit qui est en cause, avec le recours à des techniques importées d'Irak.
L'explosion de violence dans la province chinoise du Xinjiang, qui a fait au moins 156 morts et plus de 1.500 blessés, est le résultat de nombreuses années de tension entre la population ouïghoure autochtone et l'ethnie Han, ultramajoritaire en Chine. Le tout sur fond de richesses pétrolières et d'industrie nucléaire. Le journaliste et écrivain Bernard Ollivier, qui a visité plusieurs fois la région, explique pourquoi Pékin ne lâchera jamais prise.
Le sommet de Moscou entre les présidents russe et américain était surtout l'occasion de relancer la coopération entre les deux pays après des années de confrontation sous George Bush. Pour ce faire, quoi de mieux qu'un bon vieil accord sur la réduction des armements nucléaires? Alors que les traités START, issus de la fin de la guerre froide, expirent, une nouvelle et forte réduction des arsenaux nucléaires est décidée: passer, pour chaque pays, d'environ 8.000 têtes nucléaires à 1.600 en sept ans.
Les Etats-Unis ont officiellement retiré leurs «troupes de combat» des villes irakiennes depuis mardi 30 juin. En réalité, plus de 130.000 soldats américains demeurent sur place et l'avenir politique du pays reste toujours figé, le premier ministre al-Maliki ayant choisi de consolider son pouvoir plutôt que de réconcilier les Irakiens.
Connaîtra-t-on jamais les causes de l'accident du vol Air France 447 effectuant la liaison Rio-Paris? Près d'un mois après, personne n'est encore capable d'expliquer ce qui s'est réellement passé au-dessus de l'Atlantique. Entre la faible chance de retouver les boîtes noires, et la communication peu transparente des parties concernées, on peut se demander si la lumière sera un jour faite sur cette catastrophe. Les enjeux financiers sont énormes, les pilotes s'inquiètent tandis que constructeur et compagnie tentent de limiter les dégâts (photo des premiers débris récupérés).
La grève à Radio France Internationale est désormais la plus longue observée dans l'audiovisuel public français depuis 1968. Face à cette situation, et devant l'absence complète de dialogue social avec la direction, les salariés avaient décidé mercredi d'organiser une radio éphémère : RFI Riposte.
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Pourquoi écrire un roman lorsqu’on est journaliste? Au moment où sort mon premier roman, « Requiem pour une République » (Gallimard - Série Noire), ma réponse à la question du choix de la fiction est des plus simples: la liberté d’écriture.
Dans une rentrée littéraire française foisonnante, la parution du Tome 4 de la saga Millénium, intitulé « Ce qui ne me tue pas », ressemble plutôt à la sortie d’un film de super-héros hollywoodien. Un Avengers 4, un reboot en même temps qu’un sequel, pour utiliser les termes en vogue dans l’industrie du cinéma.
La campagne présidentielle d’Hillary Clinton est à peine lancée (18 mois en avance du scrutin tout de même) que tout ce qu’il y avait à craindre d’une telle candidature est déjà là : conflits d’intérêts, gros sous et amis embarrassants.
Le cinéaste Michel Gondry tourne depuis plusieurs semaines dans Paris et en banlieue sa version cinématographique de L'Ecume des Jours de Boris Vian. Le 17 juillet, il a installé ses décors, et notamment ses étranges véhicules, dans les rues du Haut Belleville.