Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Les citoyens, très attendus par les organisateurs, étaient presque introuvables à cette première étape du « tour de France de l’information », à Auxerre. Les journalistes, eux, n’ont pas attendu d’être conviés pour venir imposer leurs inquiétudes et préoccupations.
Plusieurs films récents ont été ciblés par des raids numériques d’extrême droite, qui investissent les réseaux sociaux et la plateforme AlloCiné. Ces campagnes de dénigrement sont relayées par des médias et comptes réactionnaires, dont certains évoluent dans la galaxie Bolloré.
Depuis les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, le milieu de la recherche, en particulier les spécialistes du Proche-Orient, dénonce un climat de « chasse aux sorcières » entretenu par le gouvernement pour toute parole jugée propalestinienne.
Depuis le 7 octobre et les attaques du Hamas sur le sol israélien, les débats éditoriaux sont particulièrement vifs au sein des médias français. Au point de provoquer parfois un vrai malaise et des clivages, qui se cristallisent sur la crainte d’être accusé de partialité.
Organisés samedi par la présentatrice de CNews, les « États généraux du journalisme » ont été l’occasion pour la presse conservatrice de méditer autour de la question suivante : comment rendre les médias et les journalistes davantage de droite ?
En août dernier, Disneyland Paris a engagé des procédures contre cinq salariés grévistes, dont deux délégués syndicaux, en plein conflit social. L’inspection du travail vient de refuser le licenciement du seul élu du personnel à être allé jusqu’au bout de la procédure contradictoire.
Depuis l’attaque du Hamas sur le sol israélien, chaque jour donne lieu à un déluge de fake news sur X, nouveau nom de Twitter, noyant les internautes dans les manipulations. Elon Musk, qui célèbre son premier anniversaire à la tête de la plateforme, en porte la responsabilité.
Face à la concentration des médias et à la droitisation des discours, Le Média, jusque-là cantonné en ligne, s’assigne une mission périlleuse : investir le canal de diffusion le plus traditionnel, la télévision. À gauche toute, il espère échapper aux pièges de la polarisation à outrance.
Depuis le 7 octobre et l’attaque du Hamas sur le sol israélien, les deux belligérants tentent d’imposer leur vision du conflit à coups de clips de propagande et de manipulations de l’information. Une guerre de communication qui s’immisce partout, jusque dans les jeux vidéo.
Une enquête préliminaire pour « violences sur conjoint » a été ouverte à l’encontre de l’animateur star de M6 à la suite de deux signalements adressés à la procureure de Paris. Un rassemblement a eu lieu mardi soir devant le siège de la chaîne, où les plusieurs dizaines de manifestantes et manifestants ont réclamé la déprogrammation des émissions de Stéphane Plaza.
Le baptème des locaux de la chaîne de télévision publique au nom du journaliste qui en fut le président contesté a attiré l’incompréhension et la colère des syndicats et de la société des journalistes. L’actuelle patronne Delphine Ernotte nie toute influence d’Emmanuel Macron dans ce choix, qu’elle assume pleinement.
Après avoir essuyé deux refus de l’inspection du travail, la direction de l’hebdomadaire satirique a écrit fin septembre au ministre du travail pour lui faire valider le licenciement de Christophe Nobili.