Cet automne, quatre compagnies aériennes ont annoncé qu’elles desserviraient désormais Cuba, et Euromonitor, cabinet international d’études de marché, désigne l’île comme l’une des trois destinations phares de l’année à venir. Avant Donald Trump du moins qui, ayant fait affaire avec Cuba en plein embargo, devrait néanmoins comprendre les investisseurs pressés.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous