Affaire DSK au FMI: un risque pris au sommet de l’Etat
Le jour où Nicolas Sarkozy arrivait à Camp David pour plaider la cause d'un nouvel ordre financier mondial confiant un rôle élargi au Fonds monétaire international (FMI), son directeur général français Dominique Strauss-Kahn est mis en cause par des révélations du Wall Street Journal. Samedi 18 octobre, le hasard a mal fait les choses. A moins que ce ne soit pas le hasard.
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Article publié initialement le 18 octobre 2008. En octobre 2007, avant de quitter Paris pour Washington où il allait s'installer dans le fauteuil du directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn n'a pas reçu que des félicitations et des encouragements. «Il a été mis en garde par un très grand nombre de personnes, qui lui ont dit de faire très attention», confiait, samedi 18 octobre, à Mediapart une source financière. Plusieurs anciens collaborateurs de DSK ont confirmé ces avertissements.
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par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
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