Depuis que la candidature de Dominique Strauss-Kahn pour devenir directeur général du FMI a été proposée par Nicolas Sarkozy, Mediapart a publié de nombreux articles sur le sujet. Retrouvez ici notre choix d'articles.
Le Fonds monétaire international, en charge en principe de la stabilité du système monétaire mondial, est resté étonnamment discret face à la crise des "subprime". Mais il est vrai qu'elle met en cause les Etats-Unis, premier actionnaire du Fonds.
Incroyable mais vrai: Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international, s'est enfin exprimé publiquement sur les "temps exceptionnels" que traversent les marchés financiers et l'économie mondiale. Malheureusement, sa contribution à l'analyse et à la résolution de la crise est tout sauf exceptionnelle.
L'Assemblée nationale a débattu, mercredi 8 octobre, de la crise financière et de la politique du gouvernement. Les socialistes ont profité de l'occasion pour avancer certains propositions et formuler des critiques. Mais elles pâtissent d'un lourd handicap: une partie des déréglementations de ces vingt dernières années est due à des gouvernements de gauche.
Les résultats de l'enquête sur la relation intime entre le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, et une ancienne employée mariée de l'institution, devraient être connus fin octobre. La France officielle jure déjà de l'innocence de DSK et certains de ses proches crient au complot. Questions et réponses.
Dans des déclarations à des radios argentines, l'économiste Mario Blejer a affirmé qu'il n'était pas à l'origine de l'enquête lancée par le FMI sur la relation intime entre sa propre épouse, Piroska Nagy, et le directeur général, Dominique Strauss-Kahn. Le Wall Street Journal, qui avait dévoilé l'affaire, met à nouveau en cause DSK pour un deuxième cas, cette fois-ci de favoritisme. Le FMI a aussitôt démenti avec fermeté.
Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, s'est offert, jeudi 26 mars, un retour au premier plan dans la vie politique française, en intervenant pendant près de deux heures dans l'émission «À vous de juger», sur France 2. Même s'il n'a pas évoqué directement la situation intérieure de la France et s'il a démenti les rumeurs annonçant sa nomination par Nicolas Sarkozy comme premier ministre si la crise s'aggravait, les spéculations médiatiques vont bon train quant à un hypothétique retour de DSK pour l'élection présidentielle de 2012.
Le verdict des marchés est maintenant tombé sur le plan de «soutien» promis à la Grèce par l'Union européenne. Ce plan a été construit sur la base d'un compromis boiteux dicté par Angela Merkel, beaucoup, et Nicolas Sarkozy, un tout petit peu. Avec des amis comme ces deux-là, qui a besoin d'ennemis!
Les socialistes français ne cessent d'alerter l'opinion sur l'inertie de l'Union européenne et son manque de détermination pour trouver un plan de sauvetage cohérent de la Grèce. Mais ils ne soufflent mot du plan d'austérité mis au point par Bruxelles et le FMI, présidé par Dominique Strauss-Kahn.
Patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn a supervisé la confection du plan d'austérité grec, un des plus violents imposé à un pays européen depuis la dernière guerre. En France, le PS ne pourra longtemps éluder la question: comment l'auteur d'une purge ultra-libérale pourrait-il un jour prétendre le représenter ?
DSK, combien de divisions ? Orchestré médiatiquement, le retour sur la scène nationale et socialiste du directeur du FMI en vue de la prochaine présidentielle se heurte à de nombreux obstacles.
Dominique Strauss-Kahn, invité de l'émission «A vous de juger», jeudi 20 mai, sur France 2, s'est montré maître dans l'art de l'esquive, sans parvenir toutefois à cacher ses inclinations libérales.
Si Dominique Strauss-Kahn «sort du bois», ce ne sera pas avant le début de l'année 2011. Mais le silence de «l'imam caché», concentré sur sa tâche au FMI, encourage certains de ses fidèles, souvent de la dernière heure, à occuper l'espace. Au grand dam des strauss-kahniens historiques, encore partagés sur la stratégie à adopter d'ici à la fin de l'année.
Dominique Strauss-Kahn va-t-il y aller? En tout cas, son épouse assure ce mercredi qu'elle «ne souhaite pas qu'il fasse un second mandat à la tête du FMI». Ni une ni deux, les spéculations reprennent de plus belle.
Le jour où Nicolas Sarkozy arrivait à Camp David pour plaider la cause d'un nouvel ordre financier mondial confiant un rôle élargi au Fonds monétaire international (FMI), son directeur général français Dominique Strauss-Kahn est mis en cause par des révélations du Wall Street Journal. Samedi 18 octobre, le hasard a mal fait les choses. A moins que ce ne soit pas le hasard.
En pleine crise de dette souveraine dans la zone euro, le FMI sera déstabilisé par l'inculpation à New York de son directeur général. Sans préjuger de l'issue de la procédure, l'institution paye la nomination d'un homme politique à sa tête. Analyse.
Newsletters
Découvrez les newsletters de Mediapart
Recevez directement l’info de votre choix : Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l’air libre, Écologie, Enquête …
L’Espagne commémore cette année les 50 ans de la mort de son dictateur, le 20 novembre 1975, dans un climat électrique. Plongée dans les batailles mémorielles du pays, alors que les extrêmes droites, du parti Vox à l’influenceur Alvise Pérez, séduisent chez les nouvelles générations, en particulier les…
Luigi Bonaventura, ancien chef de clan, et Annamaria, divorcée d’un boss de la ’Ndrangheta, sont des survivants. Tandis que le premier dénonce l’endoctrinement des enfants au sein des familles mafieuses italiennes, la seconde a gagné le nord du pays avec ses garçons pour échapper à l’emprise. Briser…
C’est une promesse tenue par Donald Trump : la déclassification de nombreuses archives de la CIA, la célèbre agence de renseignement des États-Unis. On y découvre comment les services français ont été associés à leur insu à une opération de surveillance illégale. Comment la CIA a espionné de près Jacques…