Finalement, Areva s’est décidé à se porter partie civile dans le dossier Uramin. La direction du groupe nucléaire s’était jusqu’à présent refusée à entamer la moindre action en justice. Trois informations judiciaires ont pourtant été ouvertes, à la suite du signalement de la Cour des comptes en avril 2014 (voir le rapport révélé par Mediapart) : l’une pour escroquerie, abus de bien social et corruption d’agent public étranger, l’autre pour fausses informations boursières, présentation de comptes inexacts, abus de pouvoir, faux et usage de faux, la troisième enfin pour délit d’initiés dans le dossier Uramin.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous