La fanfare, « le Juif » et les blagues antisémites

Étudiant en 2008 dans une grande école d’ingénieurs, Jonas Pardo s’est investi dans une fanfare étudiante, où il était surnommé « le Juif ». Transgressions, humiliations, « blagues » répétées… Après une amnésie de dix ans, il témoigne d’un « harcèlement à caractère antisémite ». Mediapart a tenté de ranimer la mémoire des fanfarons de l’époque.

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Pas de croix gammée ni de salut hitlérien. Pas l’ombre d’un négationniste, ni même d’un électeur d’extrême droite. « C’est une histoire d’antisémitisme ordinaire qui a dégénéré », résume Jonas Pardo. Tout commence en 2008, lorsque le jeune homme intègre une grande école d’ingénieur·es de l’ouest de la France.

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