Annulation de la dette publique: les gauches en quête de doctrine
Faut-il se battre pour que la BCE annule les titres de dette publique qu’elle détient ? Les partis de gauche travaillent encore leurs positions sur un sujet qui divise les économistes dont ils sont proches. L’enjeu : adapter leurs doctrines au nouvel âge monétaire, afin de crédibiliser leur volonté de transformation sociale. Premier volet de notre série.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
Fin décembre sur les réseaux sociaux et dans le Club de Mediapart, l’esprit de Noël ne régnait pas vraiment parmi les économistes. Même parmi ceux qui ont en commun le refus de l’austérité, le débat était vif et les noms d’oiseaux ont volé. La controverse porte sur une proposition précise, propulsée sur le devant de la scène depuis l’emballement des dépenses publiques liées à la crise sanitaire.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.