Sa défaite est sans appel, à l’image de l’espoir que le leader de Syriza, Alexis Tsipras, a levé dans la gauche européenne, puis des procès en trahison qu’il a suscités. Rarement un chef de gouvernement étranger aura provoqué autant de tensions, du PS à la gauche radicale. Son départ, au profit de la droite, a d’ailleurs été diversement commenté par les formations politiques françaises traditionnellement marquées à gauche.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous