Syrie, le martyre d’un peuple

La chute d’Alep fracture les partis politiques français

À droite, Fillon se rapproche du FN en défendant le régime d’Assad et Vladimir Poutine. Le PS et les écologistes relaient l’opposition syrienne, quand Mélenchon défend une lecture anti-impérialiste avec les États-Unis comme adversaire.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

La chute d’Alep est un révélateur. Y compris des fractures au sein des partis politiques français. À droite, la primaire a désigné un candidat, François Fillon, qui s’est distingué de nombre de ses compagnons par son soutien à Vladimir Poutine, voire à Bachar al-Assad, sur une ligne proche de celle du Front national. À l’inverse, le PS et les écologistes condamnent sans hésiter le régime dictatorial et soutiennent l’opposition syrienne non-djihadiste. Jean-Luc Mélenchon, lui, cultive une lecture anti-impérialiste qui suscite de vives polémiques.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal