À 18 h 08, le 23 juin 2015, le vol Air France 1591 en provenance d’Istanbul achève sa course sur le tarmac de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Depuis vingt minutes, trois agents de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) patientent au terminal 2E. Ils ont rendez-vous avec « Abou Saïf le Coréen ». A priori, rien qu’un djihadiste de plus. Deux cents Français sont alors déjà rentrés du théâtre syrien.
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