Civettes et chiens viverrins pourraient avoir joué un rôle crucial dans l’émergence du Sars-CoV-2. Une étude coordonnée par le CNRS, publiée jeudi 19 septembre, apporte de nouveaux éléments sur les origines de la pandémie. Entretien avec la chercheuse et coautrice Florence Débarre.
Une tribune souligne la nécessité de répondre au bras de fer entre le Brésil et X par une mobilisation internationale contre la domination des géants du numérique. L’affaire brésilienne confirme la tentative de vassalisation des États, avec la complicité de l’extrême droite.
L’attaque aux bipeurs piégés menée contre le Hezbollah est une réussite pour les services israéliens auxquels elle est attribuée. L’État hébreu semble choisir de se rapprocher encore un peu plus d’une déflagration régionale. Sans objectif stratégique défini, sinon la guerre.
Au moins 20 personnes ont été tuées mercredi 18 septembre et 450 blessées dans une vague d’explosion de talkies-walkies et d’autres appareils, au lendemain d’explosions meurtrières de bipeurs appartenant à des membres du Hezbollah pro-iranien.
Après la série d’explosions qui a frappé le Liban mardi 17 septembre, les hôpitaux de la capitale ont été débordés par un afflux impressionnant de victimes. L’opération visant le Hezbollah a fait neuf morts et plus de 2 800 blessés.
Vladimir Poutine a signé, le 16 septembre, un décret qui porte à 1,5 million le nombre de soldats russes. Le Kremlin cherche à augmenter drastiquement ses effectifs pour maintenir son effort de guerre en Ukraine.
Le constat dressé par Mario Draghi fait l’unanimité : l’économie européenne fait face à un « risque existentiel ». Mais les remèdes proposés obéissent au même logiciel que dans le passé. La justice climatique et la justice sociale sont totalement oubliées.
Au moins neuf personnes ont été tuées et plus de 2 800 blessées, mardi, dans l’explosion simultanée de milliers de bipeurs, dans plusieurs bastions de la formation pro-iranienne au Liban mais aussi en Syrie.
Ursula von der Leyen a dévoilé mardi 17 septembre les contours de sa prochaine Commission, avec quatorze postes pour la droite du Parti populaire européen. Le candidat d’extrême droite de Giorgia Meloni décrocherait une vice-présidence. Les sociaux-démocrates seraient les grands perdants.
La tempête Boris continue lundi 16 septembre de ravager plusieurs pays d’Europe centrale. Au moins quinze personnes sont mortes et de très nombreuses infrastructures ont été détruites. Entretien avec Lena Schilling, activiste climat de 23 ans devenue eurodéputée verte autrichienne.
En un peu plus de deux mois, le candidat républicain a été victime de deux tentatives d’assassinat. Une violence politique qui fait écho à l’histoire d’un pays hanté par la guerre civile. Mais s’explique aussi par le travail de sape contre la démocratie états-unienne par l’ancien président, qui n’a jamais accepté sa défaite en 2020.
Thierry Breton a annoncé lundi son retrait de la Commission, sur fond de vives tensions avec la présidente Ursula von der Leyen. Il avait été reconduit fin juin par Emmanuel Macron, qui a fini par le lâcher à la fin de l’été. La désignation de Stéphane Séjourné pour le remplacer va braquer un peu plus les partisans de la parité au sein du futur exécutif.
Arrêtées à la suite de l’élection présidentielle, plus de 1 500 personnes sont toujours détenues et accusées de terrorisme et de conspiration. Des dirigeants et militants politiques mais aussi de simples citoyens. Leurs proches vivent dans la peur de lourdes peines ou de torture.
Les rumeurs sur l’octroi d’une vice-présidence de la future Commission à un proche de Giorgia Meloni inquiètent les gauches à Bruxelles. Ursula von der Leyen a reporté ses annonces pour calmer le jeu. Mais le risque d’une alliance des droites et des extrêmes droites ressurgit.
Volkswagen envisage de fermer, pour la première fois de son histoire, une ou deux usines en Allemagne. Le signe que les grands groupes ne parviennent pas à se réinventer face à l’ampleur de la crise structurelle que traverse le secteur manufacturier outre-Rhin.
Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, célèbres opposants guinéens, sont portés disparus depuis deux mois, après avoir été enlevés à Conakry par des militaires. Interpellées, les autorités françaises, principales partenaires de la junte au pouvoir, restent muettes.