Damien Abad à l’Assemblée : un retour en toute impunité
Alors qu’ils ont poussé des hauts cris à propos de l’affaire Quatennens, les députés de Renaissance affirment n’avoir aucun mal à accueillir l’ancien ministre des solidarités au Palais-Bourbon, malgré les accusations de viol ou de tentative de viol qui le visent. Une question, disent-ils, de « présomption d’innocence ».
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
AdrienAdrien Quatennens, démissionnaire de son poste à la tête de La France insoumise (LFI) après avoir reconnu des violences sur son épouse. Julien Bayou, démissionné de la vice-présidence du groupe écologiste à l’Assemblée nationale à la suite d’accusations de « violences psychologiques ». Alors que les parlementaires font leur rentrée en séance publique ce lundi 3 octobre, l’ancien ministre des solidarités Damien Abad, visé par une enquête pour « tentative de viol », reprendra le chemin du Palais-Bourbon en toute quiétude.