Procès de Nicolas Sarkozy, déclaration de politique générale de François Bayrou, cessez-le-feu à Gaza : l’humoriste Waly Dia livre sa chronique politique enregistrée jeudi 16 janvier à Marseille pendant son spectacle « Une heure à tuer ».
Notre cerveau est lent. Seulement 10 bits par seconde, peut-on lire dans une récente publication, alors que nos organes sensoriels l’inondent d’informations à des vitesses bien supérieures. Des chercheurs tentent de comprendre pourquoi.
Cinq ans après « Le Consentement », Vanessa Springora échappe à Gabriel Matzneff en devenant écrivaine affranchie, à part entière. Avec une plongée passionnante dans son lignage : approfondir le « nom du père », examiner sa puissance, sa mystique, son délire.
Après quinze mois de destructions extrêmes, il aura fallu une élection aux États-Unis pour tout changer. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, après maints retournements, a finalement accepté un accord temporaire. Mais à quel prix ?
Le bras droit de Nicolas Sarkozy a été incapable d’offrir une version rationnelle de sa rencontre secrète avec un dignitaire libyen, Abdallah Senoussi, condamné et recherché par la France pour terrorisme, et au cœur de financements occultes avant la campagne de 2007.
Interrogé sur l’implication de l’intermédiaire Ziad Takieddine dans les négociations secrètes d’un marché avec l’Arabie saoudite par le ministère de l’intérieur, prélude à l’affaire libyenne selon l’accusation, l’ancien député européen a chargé Claude Guéant, alors bras droit de Nicolas Sarkozy.
Avant même de rentrer dans le fond des accusations, le procès des financements libyens a montré, lundi 13 janvier, une réalité qui commence à poindre derrière l’énergie que met l’ancien président de la République à se défendre : il marche sur un fil.
Aurel, dessinateur au « Canard enchaîné », décrit le lent déclin de sa profession, qu’il attribue aux difficultés économiques de la presse, à une instrumentalisation de « l’esprit Charlie », mais aussi à une société devenue plus « chafouine » sur les sujets traditionnels de l’humour politique.
Jugé jeudi pour violences conjugales, l’animateur de M6 a persisté à se poser en cible d’une « vengeance ». La procureure a tenu à « rappeler qui est la victime et qui est l’agresseur », au terme d’une procédure où les plaignantes ont été brutalisées par la défense.
Au troisième jour d’audience, Nicolas Sarkozy a dénoncé « un complot » contre lui. Brice Hortefeux a estimé « qu’il n’y a rien » dans le dossier, et Claude Guéant que « le pacte corruptif n’a jamais existé ».