Paraît une traduction en français du poète palestinien Najwan Darwish, né en 1978 à Jérusalem. L’occasion de découvrir, à partir d’œuvres issues de cinq recueils publiés entre 2018 et 2021, le questionnement anxieux et tourmenté d’un verbe qui grince et résiste.
Écrivain né à Jérusalem, Karim Kattan livre dans ce texte son vécu des dernières semaines en tant que Palestinien, une personne dont « l’humanité est conditionnelle aux yeux du monde » : « Nous, Palestiniens, nous tenons au seuil de l’humanité. On nous y invite parfois, mais pas toujours. »
Malgré le soutien réitéré de son pays à Israël, Joe Biden n’a jusqu’à présent rien obtenu de Nétanyahou, et s’est mis dans une situation délicate. L’histoire récente de la relation entre les deux pays montre que l’influence de Washington est généralement surestimée.
Eyal Weizman, fondateur du collectif Forensic Architecture, revient sur la manière dont les civils installés autour de Gaza ont servi de « mur vivant » lors des massacres du 7 octobre perpétrés par le Hamas, et retrace l’évolution de la politique israélienne à l’égard des otages.
Coupable d’avoir permis au Qatar de financer le Hamas pendant qu’il refusait de négocier avec l’Autorité palestinienne, développait la colonisation et tentait d’échapper à ses procès, le premier ministre israélien va devoir rendre des comptes. Avant même la fin de la guerre ?
Dans une chronique que publie Mediapart, la journaliste et essayiste explique pourquoi elle a eu, ces derniers jours, « plusieurs fois l’impression de perdre la tête », face à « la catastrophe en Israël-Palestine ».
Début juillet, la situation se complique pour l’armée de Kyiv. Les progressions constatées sont très inférieures aux attentes des analystes et des opinions publiques. Les pays occidentaux se mettent à douter de la victoire contre la Russie. Troisième partie de notre récit de la guerre durant l’été 2023.
Alors qu’il avait rétabli les aides américaines à la Palestine, le président des États-Unis pourrait se trouver de nouveau soumis à la pression de l’aile gauche de son parti, unanime dans la condamnation du Hamas mais vigilante envers la riposte israélienne.
La cour d’assises a condamné Mohamed Lamine Aberouz à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de vingt-deux ans. Il était jugé pour sa complicité dans l’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville, sur la foi d’un ADN retrouvé sur l’ordinateur des victimes.
Accusé de complicité dans l’assassinat d’un couple de policiers, Mohamed Lamine Aberouz n’a besoin de personne pour dénoncer les charges qui pèsent à son encontre. En revanche, il est moins convaincant quand il s’agit de condamner l’État islamique.