Plusieurs milliers de personnes ont répondu à l’appel lancé par un collectif de 195 syndicats, associations de défense des droits humains et personnalités demandant « des mesures immédiate contre la bombe sanitaire » qui frappe les sans-papiers en France.
À partir du 2 juin, les écoles rouvrent, mais dans les faits, peu d’élèves pourront retourner en classe. Pour y voir clair, Mediapart fait le point sur les annonces du ministre de l’éducation nationale.
Lorsqu’elle était à la tête de la CFDT, celle qui est aujourd’hui chargée de piloter le « Ségur de la santé » avait séduit le patronat et hérissé le camp syndical. Son soutien au plan Juppé de 1995 avait provoqué le départ de nombreux militants.
Les appels à la démission de Dominic Cummings, stratège en chef du Brexit, se multipliaient mardi, au lendemain d’une conférence de presse qui n’a pas convaincu. Au risque de fragiliser son exécutif, Boris Johnson défend encore son conseiller spécial, accusé d’avoir enfreint les règles du confinement.
Ce projet dévoilé lors de la session parlementaire chinoise intervient en pleine crise politique à Hong Kong. Les démocrates dénoncent une nouvelle attaque contre les libertés et le statut spécial dont bénéficie l’ex-colonie britannique.
Plusieurs milliers de personnes ont de nouveau manifesté, samedi, pour dénoncer les restrictions liées au Covid-19. La mobilisation, entretenue en partie par des extrémistes et des conspirationnistes, gagne du terrain, dans un pays où le confinement a pourtant été bien moins strict qu’ailleurs.
La mort jeudi à Madrid de l’ancien policier franquiste Antonio González Pacheco, surnommé Billy el Niño, a relancé en Espagne le débat sur l’impunité des auteurs des crimes du franquisme.
Le projet de loi prolonge l’état d'urgence sanitaire de deux mois et permet aux autorités d’imposer des restrictions à l’accès aux commerces ou le port de masques dans les transports, limiter les zones de déplacement ou placer en isolement une personne contaminée arrivant en France. Le texte pose également les bases d’un fichier de suivi des personnes contaminées et de leurs contacts.
Les autorités chinoises continuent de nier toute tentative au départ de dissimuler l’ampleur de l’épidémie de Covid-19. Mais les preuves s’accumulent sur les premiers jours de janvier.