Les plateaux réactionnaires ont minimisé l’importance à accorder aux idées politiques du « gifleur » de Tain-l’Hermitage. Ce qui est plus étonnant, c’est que le « giflé » a opté pour la même stratégie, préférant évoquer la bêtise du jeune homme que ses accointances « patriotes ».
Un climat pénible s’est installé autour des questions de sécurité, savamment entretenu par le ministre de l’intérieur. À l’opposé, face à la radicalité des demandes formulées par les policiers, une partie de la gauche a tenu à marquer ses distances avec cette corporation.
Plus les Français s’étonnent des orientations économiques de Joe Biden, plus Emmanuel Macron semble s’agacer. La gauche, en particulier, ne tarit pas d’éloges à l’égard du nouveau président des États-Unis, mais n’en fait-elle pas un peu trop ?
Emmanuel Macron voulait une commémoration mesurée, beaucoup ont trouvé son hommage à l’Empereur particulièrement appuyé. À l’heure où d’autres militaires s’emploient à peser sur la politique de ce pays, il serait temps de s’interroger sur le sens d’un tel éloge.
Interprétée comme un appel à la sédition, la « tribune des généraux » est passée relativement inaperçue lors de sa publication, le 21 avril, et il aura fallu plusieurs jours avant que des dirigeants de gauche s’en emparent, le gouvernement semblant ne pas mesurer la gravité des faits.
Cinq jeunes ont été condamnés pour avoir attaqué et brûlé des policiers en 2016. Huit autres ont été acquittés, suscitant l’indignation d’une partie de la classe politique, qui fustige une justice laxiste. Mais est-ce vraiment la justice qui a mal fait son travail ?
Alors qu’une rencontre des responsables de gauche en vue de la présidentielle 2022 s’est tenue, samedi, à la demande du candidat écologiste Yannick Jadot, comment comprendre cette union laborieuse qui n’en finit pas de balbutier ?
Pendant une semaine, une banale affaire de dîners secrets a fait frémir les sphères politique et médiatique. Essayons de comprendre pourquoi tout le monde semble à cran dès qu’on tend un micro à Pierre-Jean Chalençon.
Les décisions du président ont de lourdes conséquences pour les malades, les soignants et les familles endeuillées, mais aussi sur l’état de notre démocratie. Les Français auront-ils la force de reconstruire une vie démocratique apaisée une fois la crise sanitaire passée ?
Depuis l’émergence du variant anglais, la situation sanitaire est telle que dans nombre d’établissements, le personnel n’en peut plus, quand il n’est pas lui-même infecté. Retour aujourd’hui sur un pari manifestement perdu : celui de maintenir les écoles ouvertes coûte que coûte.