La démocratie n’empêche-t-elle pas la France d’être réellement efficace dans sa gestion de la crise sanitaire ? C’est la question que se pose ce premier épisode confiné d’« Ouvrez les guillemets ».
La crise du coronavirus fera date, mais d’autres bouleversements sont à l’œuvre. Cette semaine, l’équipe d’« Ouvrez les guillemets » revient sur la tribune de Virginie Despentes qui risque, elle aussi, de laisser des traces durables.
S’acoquiner avec les figures influentes du réseau peut rapporter gros en terme d’image et en terme de visibilité. C’est même la méthode rêvée pour les politiques qui souhaiteraient s’adresser spécifiquement aux jeunes, que ce soit pour les faire voter ou militer.
L’affaire dite des financements libyens est sans doute la plus embarrassante pour Nicolas Sarkozy. Elle mérite un traitement tout particulier, à la mesure de la gravité de ce qui est reproché à l’ancien président français.
Retour sur une polémique qui a fait grand bruit en janvier : Mila, lycéenne de 16 ans, est devenue l’égérie de la « fachosphère », laquelle a sommé la gauche de réagir à une affaire de harcèlement en ligne qui a fini par prendre une dimension nationale.
Ces dernier mois, la campagne des élections n’a été qu’une timide toile de fond. Les 15 et 22 mars, chacun ira voter mollement pour quelques pistes cyclables de plus ou de moins, en attendant la prochaine échéance sérieuse.
Depuis des décennies, le taux de chômage semble être devenu l’indicateur le plus important dans le débat public. Pourquoi privilégier ce chiffre-là au détriment des autres ?
Dans la foulée du mouvement des « gilets jaunes » et du « grand débat », Emmanuel Macron a consenti à créer une assemblée citoyenne tirée au sort. Celle-ci n’est pour l’instant dotée d’aucun cadre juridique précis, ce qui laisse au pouvoir une marge de manœuvre considérable. À moins que…
Les puissants n’ont pas de mots assez durs pour qualifier la méchanceté des réseaux sociaux : on ne peut plus rien dire, on ne peut plus rire de tout parce que les gens s’offusquent à tout bout de champ mais paradoxalement, ils ricanent aussi d’un rien. Le problème, ce n’est donc pas le rire mais bien davantage ses cibles.
La France doit à ses révolutions quelques-unes de ses plus belles conquêtes démocratiques et quelques moments de grâce de son histoire. Cette semaine, l’équipe d’OLG repose la question de la révolution, calmement et avec des perruques.
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