Le week-end dernier a été animé par des mouvements de révolte dans les quartiers populaires, suivis par de grands déploiements de forces de l’ordre en pleine période de confinement.
C’est une évidence, si vous avez vu les images avant/après du ciel de Paris, vous ne pouvez que vous réjouir des effets du confinement sur la pollution de l’air. Nous sommes le problème, voilà un bon slogan.
Tout le monde a son avis sur le savant de Marseille, alors vous avez dû vous forger le vôtre. Êtes-vous du côté des francs-tireurs rebelles, qui fustigent les marquis parisiens, ou du côté des raisonnables, qui préfèrent suivre les protocoles plutôt qu’un gourou hirsute ?
La démocratie n’empêche-t-elle pas la France d’être réellement efficace dans sa gestion de la crise sanitaire ? C’est la question que se pose ce premier épisode confiné d’« Ouvrez les guillemets ».
La crise du coronavirus fera date, mais d’autres bouleversements sont à l’œuvre. Cette semaine, l’équipe d’« Ouvrez les guillemets » revient sur la tribune de Virginie Despentes qui risque, elle aussi, de laisser des traces durables.
S’acoquiner avec les figures influentes du réseau peut rapporter gros en terme d’image et en terme de visibilité. C’est même la méthode rêvée pour les politiques qui souhaiteraient s’adresser spécifiquement aux jeunes, que ce soit pour les faire voter ou militer.
L’affaire dite des financements libyens est sans doute la plus embarrassante pour Nicolas Sarkozy. Elle mérite un traitement tout particulier, à la mesure de la gravité de ce qui est reproché à l’ancien président français.
Retour sur une polémique qui a fait grand bruit en janvier : Mila, lycéenne de 16 ans, est devenue l’égérie de la « fachosphère », laquelle a sommé la gauche de réagir à une affaire de harcèlement en ligne qui a fini par prendre une dimension nationale.
Ces dernier mois, la campagne des élections n’a été qu’une timide toile de fond. Les 15 et 22 mars, chacun ira voter mollement pour quelques pistes cyclables de plus ou de moins, en attendant la prochaine échéance sérieuse.
Depuis des décennies, le taux de chômage semble être devenu l’indicateur le plus important dans le débat public. Pourquoi privilégier ce chiffre-là au détriment des autres ?