Journaliste. Diplômée de l'Institut pratique du journalisme (IPJ Paris-Dauphine), j'ai travaillé au Bondy blog et au Monde, entre autres. J'ai aussi écrit un livre, "Des voix derrière le voile" (Premier parallèle, 2015). J'ai rejoint Mediapart en 2015 pour traiter des questions d'éducation. Désormais je m'occupe des questions liées à la pauvreté. Vous pouvez m'écrire à faiza.zerouala@mediapart.fr
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Le sociologue Marwan Mohammed a longuement étudié la jeunesse des quartiers populaires. Il décrypte pour Mediapart les enjeux soulevés par l’affaire Théo, du nom de ce jeune homme d’Aulnay-sous-Bois grièvement blessé lors d’une tentative d’interpellation début février. Une histoire qui survient dans un contexte où les violences policières de tous ordres sont dénoncées avec de plus en plus de vigueur.
Rencontre avec Kamel Daoud, qui publie un choix de ses chroniques (2010-2016) : Mes indépendances (Actes Sud). Retour sur l’Algérie métaphorique, le terrorisme apocalyptique, la religion colérique, l’homme archaïque, la femme fantasmagorique, la frénésie numérique. Et l’urgence de penser librement…
Pour la première fois, l’Unef perd sa première place au profit de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) pour représenter les étudiants dans les CROUS. Sa mobilisation contre la loi sur le travail n'a pas payé.
Destiné à favoriser la mixité sociale, un projet de rapprochement entre deux collèges du même quartier, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, suscite la désapprobation d'une partie des parents, qui le jugent mal pensé. Mais pour ses défenseurs, la réticence du camp adverse est en réalité due à un refus de mélanger les enfants.
Au terme d’une audience interminable de près de onze heures, les deux frères d’Adama Traoré ont été condamnés, le 14 décembre 2016, pour des faits de violences et d’outrages contre les forces de l’ordre. Mediapart publie les motivations de la décision.
Le Front national veut mettre fin à la scolarisation gratuite des enfants d’étrangers en situation régulière. Une telle mesure bafouerait tous les textes juridiques qui affirment ce droit à la scolarisation, quelle que soit la situation des parents.
Plusieurs études récentes montrent que les enfants issus de l'immigration turque ont de moins bons résultats scolaires que les enfants originaires d'Asie. Des chercheurs expliquent les raisons de ces différences et insistent sur le fait qu'être issu d'un milieu social défavorisé reste le principal facteur d'échec.
Des habitants de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) continuent de se battre pour obtenir la vérité sur le décès, en juillet 2016, d’Adama Traoré à la gendarmerie de Persan dans des circonstances qui restent à éclaircir. Une mort qui aura marqué l’année 2016, comme celle de Rémi Fraisse avait marqué 2014.
Un reportage, diffusé sur France 2, montrant des femmes accueillies très froidement dans des cafés a vite pris un virage nauséabond, à la mode burkini. L’inégalité entre les femmes et les hommes dans l’espace public est loin d’être l’apanage de certains quartiers, d’une culture ou d’une religion.
Bagui et Youssouf Traoré, frères d'Adama, comparaissaient devant le tribunal pour menaces et violences envers huit gendarmes et policiers. Ils ont été condamnés à de la prison ferme au terme d’une audience fleuve.
Deux frères du jeune homme mort le 19 juillet 2016 entre les mains des gendarmes à Persan dans le Val-d’Oise, sont jugés à Pontoise pour outrages et violences à l’encontre de huit gendarmes et policiers.
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Raconter son parcours quand on est transclasse, soit. Mais autant ne pas piétiner la sociologie au passage. Se livrer dans ces récits de vie sans rappeler le poids des déterminismes sociaux, politiser la question et interroger l’incapacité de notre système scolaire à être autre chose qu’une machine à reproduire les inégalités, cela n'a pas vraiment de sens.
Marine Le Pen n'a jamais été aussi proche des portes du pouvoir. Cet entre-deux-tours met nos nerfs à rudes épreuves et nous place dans un dilemme inconfortable. Mais l'urgence de lui barrer la route prime.
Hier soir, en sortant d'un restaurant, un ami me propose de me déposer en voiture pour continuer à discuter. Nous sommes quatre. Un écrivain, une actrice, un comédien et moi, journaliste. Nous sommes quatre Arabes. Je ne sais pas pourquoi je le précise mais peut-être que cette donnée a de l’importance pour la suite de l’histoire. Récit d'un contrôle policier ordinaire... pour des Arabes !
C’est une mesure symbolique. L’extension de la déchéance de nationalité pour les bi-nationaux nés français, concept inflammable au possible, figure bien dans le projet de loi constitutionnelle de « protection de la Nation ». Mais, rassurons-nous, il ne s’agit que d’une mesure « symbolique » selon le terme employé par Manuel Valls.
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