Il y a cent ans, la marche sur Rome (2/3)

Mussolini au pouvoir : anatomie d’un régime fasciste

Après la marche sur Rome, Mussolini a transformé son mouvement en régime. Cette dictature de parti unique a fonctionné à la répression, mais pas seulement. Pendant un temps, il a été capable de créer les conditions d’un relatif consensus, au moins passif, au sein des masses italiennes.

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Plusieurs semaines avant qu’elle ne survienne, la marche sur Rome était ouvertement évoquée par les cadres fascistes et par Mussolini lui-même, tantôt sur un mode métaphorique, tantôt sous la forme d’une insurrection en bonne et due forme. Le chantage pouvait se résumer ainsi : ou bien l’État devenait légalement fasciste, ou bien les fascistes seraient contraints de prendre illégalement l’État.

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