« Chaque juif a neuf vies, aimait dire Blumkine. Tant que je ne les aurai pas vécues, je ne peux pas mourir ! Inutile d’essayer de me tuer ! » Je ne sais d’où vient cette variante de la légende qui attribue aux juifs ce qu’on prête habituellement aux chats. Mais chat ou juif, peu importe, la métaphore des neuf vies de Blumkine est bien commode pour mettre un peu d’ordre dans sa biographie embrouillée.
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