Un puits sans fond de paroles volées, de confidences épiées, d’amitiés militantes disséquées, d’ordinateurs personnels jamais restitués, de détails intimes exhibés comme des trophées. L’information judiciaire ouverte sur des militant·e·s antinucléaires de Bure n’a pas seulement usé de moyens techniques, humains et financiers disproportionnés. Elle s’est brutalement introduite dans la vie privée d’un large cercle de personnes.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous