La rue ne décolère pas (20/22) Reportage

«Une cocotte-minute qui bout depuis longtemps»

Portraits de manifestants croisés ce samedi dans les cortèges à Paris et Saint-Brieuc et avant la nouvelle journée de mardi.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Michel Dedenis, chômeur, et sa femme Joëlle

Illustration 1
© MM

Ils essaient de venir à chaque fois aux manifs parisiennes, même s'ils habitent à Palaiseau (Essonne). Joëlle, 56 ans, travaille à temps partiel («un choix», précise-t-elle) comme secrétaire dans le BTP. Son mari Michel, 58 ans, a été licencié au début de l'année. Aucun des deux n'est syndiqué. Michel était ingénieur chez un sous-traitant automobile de Trappes, un grand groupe dont le siège est au Luxembourg. «Ils gardent que les jeunes pas cher, ils se foutent des compétences», dit-il.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal