L’ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy sort vainqueur de la primaire de la droite et du centre. Pendant des années, il a travaillé ses ambitions personnelles dans l’ombre des autres, puis a réussi à faire oublier sa responsabilité dans l’échec de 2007-2012.
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Fin août 2014. L’UMP est encore groggy. Le parti de la rue de Vaugirard vient de traverser l’une des plus grandes crises de son histoire, désormais connue de tous sous le nom de “Bygmalion”. L’affaire, qui a éclaté quelques mois plus tôt, n’a pas seulement entraîné la démission de Jean-François Copé. Elle a aussi ravivé les multiples tensions qui divisent les ténors de la droite depuis la défaite de 2012. À Rouez-en-Champagne (Sarthe), devant un parterre de parlementaires, François Fillon redouble d’efforts pour montrer qu’il demeure plus que jamais dans la course de la primaire pour la présidentielle de 2017.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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