À Bure, les liens financiers entre gendarmes et nucléaire mélangent intérêts publics et privés

En vigueur depuis 2018, une convention entre la gendarmerie nationale et l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs permet la facturation de missions de service public. Mais alors, dans l’intérêt de qui la police agit-elle ? Et où se trouve la borne entre intérêts publics et privés ? Mediapart publie le document obtenu grâce à une saisine de la Commission d’accès aux documents administratifs.  

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À Bure (Meuse), depuis 2018, certaines activités des gendarmes sont facturées à l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs (Andra), l’établissement public qui y a installé un laboratoire préparant le futur centre d’enfouissement en couche géologique profonde (Cigéo). 

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