Margot loue son appartement pour écrire, Jérôme se bat pour son métier de livreur à vélo, Medhi s'épuise chez Uber, William tente une nouvelle vie et Dominique joue à saute-CDI. Tous utilisent les plateformes d'intermédiation en ligne pour vivre, compléter leurs revenus ou s'assurer d'avoir un coup d'avance, pression du chômage oblige. Ils sont le plus souvent autoentrepreneur par obligation, un statut qui pourrait être encore assoupli dans la future loi El Khomri, et qui concerne environ un million d'actifs.
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