Ce très discret lieu d’entreposage de biens de luxe a fermé les yeux pendant des années sur les combines qui pouvaient s’y tramer. Après une avalanche de scandales, le canton de Genève, propriétaire du port franc, a lancé un grand ménage en 2015. Sans renier totalement son ADN.
Les responsables afghans Haibatullah Akhundzada et Abdul Hakim Haqqani sont visés pour crimes contre l’humanité, pour avoir « spécifiquement ciblé les filles et les femmes en raison de leur genre », mais aussi d’autres « expressions de la sexualité et/ou de l’identité de genre ».
La vidéo de la BBC montrant la lacération d’un « small boat » par des policiers français relance le sujet de l’arraisonnement des bateaux dans la Manche, alors que les négociations sur la route migratoire sont au menu du sommet franco-britannique qui débute mardi.
Guerres, menaces nucléaires, développement d’armes autonomes, capitalisme prédateur et dérèglement climatique : le monde a un petit goût d’apocalypse en cet été 2025. Notre émission « Retex » consacrée aux questions militaires revient sur les dangers qui guettent.
Israël et le Hamas ont repris dimanche 6 juillet des négociations indirectes en vue d’un cessez-le-feu à Gaza. Mais les véritables discussions devraient se régler aux États-Unis, où le premier ministre israélien est en visite jusqu’au jeudi 10 juillet.
Paul O’Brien dirige la section états-unienne d’Amnesty International. De passage à Paris, il s’est entretenu avec Mediapart de la situation outre-Atlantique et des réponses de son organisation aux attaques de Donald Trump contre l’État de droit.
La Commission européenne n’est pas mise en danger par une procédure déclenchée par 75 députés d’extrême droite. Les alliés malmenés par sa présidente en ont profité pour protester contre sa rupture du cordon sanitaire. La gauche radicale juge « hypocrites » toutes les forces qui se sont affrontées lors du débat.
Mediapart publie la lettre que Reza Khandan, militant des droits humains et époux de l’avocate Nasrin Sotoudeh, a fait sortir de la prison où il est détenu. Un témoignage exceptionnel sur la condition carcérale dans un Iran alors sous les bombes israéliennes.
Coincées entre un Iran très affaibli et un Israël devenu agent du chaos dans la région, les monarchies du Golfe voient leur marge de manœuvre réduite. Elles redoutent un embrasement du Moyen-Orient, le scénario du pire.
En moins de deux ans, l’amorce d’une stabilisation du Moyen-Orient autour des puissances iranienne et saoudienne a volé en éclats. Depuis le 7-Octobre, l’État hébreu a démontré sa suprématie militaire mais n’a offert aucune solution politique. Le mépris des droits humains, lui, n’a pas varié.
Depuis son retour au pouvoir, le président des États-Unis veut arracher un cessez-le-feu à Gaza au premier ministre israélien, en visite lundi à Washington. Mais Israël est aussi l’artisan du chaos actuel dans la région, qui contrecarre les ambitions d’une « pax americana ».
Les signes de perte d’influence diplomatique de la France se multiplient, de l’Algérie à l’Ukraine, de Gaza au Congo. Un effacement contesté par l’exécutif, qui reconnaît du bout des lèvres que la diplomatie à la sauce Trump rebat les cartes internationales. Mais c’est aussi le style Macron qui est en cause.
Le bilan humain des inondations éclair au Texas, dans le sud des États-Unis, atteint 60 morts dimanche, selon l’AFP. Alors que les secouristes cherchent encore les disparus, les premières critiques contre le climatosceptique Trump se font entendre.
Les Forces démocratiques syriennes, qui contrôlent toute une partie de l’Est syrien, sont censées intégrer l’armée nationale. Elles font l’objet de multiples accusations de possibles « crimes de guerre », selon plusieurs récits et un rapport d’Amnesty International.
Le bilan d’inondations éclair au Texas, dans le sud des États-Unis, atteint 50 morts samedi soir, selon un bilan compilé par l’AFP auprès des autorités locales, les équipes de secours poursuivant sans relâche leurs efforts pour tenter de retrouver près d’une trentaine d’enfants disparus dans une zone dévastée par la brutale montée des eaux.
Pour la première fois, une communiste issue des classes populaires peut devenir présidente du Chili, après sa victoire à la primaire de la gauche pour la présidentielle de novembre. Mais après le mandat de Gabriel Boric, qui a déçu l’électorat de gauche, barrer la route à l’extrême droite s’avère un immense défi.