Poussé à la radicalité, le pouvoir proeuropéen n’a pas hésité à flirter avec les limites des standards démocratiques pour protéger l’avance du parti de la présidente Maia Sandu. L’opposition refuse de reconnaître les résultats de l’élection du dimanche 28 septembre.
La République tchèque peine à retrouver le dynamisme économique d’avant la crise sanitaire, et aucune issue ne semble satisfaisante à moyen terme. Une aubaine pour l’extrême droite, qui est donnée en tête aux élections législatives prévues pour les 3 et 4 octobre.
Samedi 27 et dimanche 28 septembre, la police a dispersé d’importantes manifestations dans plusieurs villes du Maroc, et procédé à de nombreuses arrestations. Les protestations étaient pourtant pacifiques, au nom du droit à la santé et à l’éducation.
Dans l’État insulaire, la répression est violente contre la « génération Z » qui dénonce les pénuries. Au moins cinq morts sont à déplorer, tandis qu’un couvre-feu a été instauré. Le président Rajoelina a limogé le ministre de l’énergie mais la crise reste entière.
Après le feu vert du Conseil de sécurité, l’économie de la République islamique est de nouveau frappée de plein fouet par de sévères restrictions. Celles-ci vont encore renforcer le camp « ultra », à l’heure où se dessine un tournant nationaliste du régime.
De plus en plus de mineurs prennent le risque de rejoindre seuls le continent européen au péril de leur vie. Un phénomène directement lié aux inégalités sociales et qui repose parfois sur un projet familial.
Un mode de scrutin indirect complexe, mis en place durant l’été par le président Ahmed al-Charaa, prévoit l’élection de 210 députés le 5 octobre et la nomination de 70 autres. Un système « ni pleinement démocratique, ni totalement autoritaire », qui ne décourage pas les candidatures.
La réduction brutale des financements venus des États-Unis met à rude épreuve des structures de santé déjà fragilisées. À Kandahar, le principal hôpital du sud du pays doit composer avec des pénuries de médicaments et de personnel et des services congestionnés.
Au moins 17 Vénézuéliens ont été tués en toute illégalité dans des frappes états-uniennes au large des côtes de leur pays. Donald Trump invoque la lutte contre le « narcoterrorisme », alors que le Venezuela mobilise ses forces armées et met en garde contre une éventuelle invasion.
Dans un pays divisé, économiquement fragile et déstabilisé par Moscou, les électeurs sont appelés dimanche à choisir leurs députés. L’issue du scrutin sera déterminante pour les ambitions européennes de cet État, sur lequel la Russie entend préserver son influence.
Le dirigeant israélien s’est exprimé vendredi à New York, s’enfonçant dans sa logique génocidaire. En face, Paris exprime son désaccord avec des mots choisis, sans sanctions ni changement de ton. La résurgence d’un inconfort diplomatique ancien à l’égard de l’allié israélien.
James Comey avait été limogé lors du précédent mandat de Donald Trump, alors que l’agence enquêtait sur d’éventuelles ingérences russes dans la campagne 2016 du candidat républicain. Il est poursuivi pour fausse déclaration et entrave à la justice. « Je n’ai pas peur », réplique Comey.
Le journaliste et traducteur Ibrahim Badra décrit les ravages commis par les robots explosifs de l’armée israélienne dans sa conquête de la ville de Gaza. « Un chantage sans début ni fin, sans intrigue ni logique. »
Douze bateaux sur la cinquantaine qui se dirigent vers l’enclave palestinienne ont été touchés par des tirs de drones dans la nuit de mardi à mercredi. « Ces 48 prochaines heures vont être critiques », alerte l’eurodéputée Emma Fourreau, tandis que Madrid et Rome envoient des navires les assister.
À l’Assemblée générale, l’ex-djihadiste devenu chef d’État a demandé la levée complète des sanctions qui pèsent encore sur la Syrie et s’est présenté comme le garant d’une politique étrangère d’apaisement, à l’opposé de celle des Assad.
Le président des États-Unis a brutalement changé de discours sur l’Ukraine, mardi, assurant que Kyiv était en capacité de gagner la guerre. Mais cette sortie fracassante ressemble aussi et surtout à une manière de préparer sa sortie, après des mois d’efforts vains pour contraindre Moscou à un cessez-le-feu.