Donald Trump a désigné l’Afrique du Sud comme adversaire, en raison d’une supposée politique de discrimination envers les Blancs. Mais cette offensive dévoile aussi le lien idéologique fort entre l’extrême droite afrikaner et les technofascistes au pouvoir à Washington.
Pour financer le projet de réarmement européen, le pouvoir et le camp néolibéral convoquent l’économie de guerre. Mais derrière cette appellation, ils pensent à tout autre chose qu’à une mobilisation des moyens économiques pour la sécurité du pays : imposer par la ruse leur agenda d’austérité sociale.
Alors que la droite et le camp présidentiel promettent de l’austérité au nom du réarmement, et sans nier la réalité des menaces impérialistes qui pèsent sur le continent, il convient de déployer des solutions différentes.
Très attendue, la réforme est entrée en phase d’écriture et doit être soumise au Parlement. Après l’avis des autorités religieuses, plusieurs amendements progressistes sont passés à la trappe, ne laissant qu’une marge de manœuvre bien réduite aux législateurs.
Dans la ville du sud des États-Unis où s’est écrite l’histoire de la lutte pour le droit de vote des Africains-Américains, des militants ont organisé un faux procès pour dénoncer le démantèlement des politiques de diversité et d’inclusion mené par Donald Trump.
Le sénateur arpente les États-Unis pour lutter contre « l’oligarchie » et présenter une alternative crédible à Donald Trump. Face aux milliardaires qui se sont emparés du pouvoir outre-Atlantique, l’icône de la gauche a pour ambition de monter une armée de gens ordinaires.
Des rassemblements ont eu lieu vendredi dans une trentaine de villes des États-Unis pour dénoncer les attaques contre la science de la part de l’administration Trump. Reportage à Birmingham, dans le sud des États-Unis, dont l’université est connue dans le monde entier pour ses recherches en médecine.
Pour la première fois depuis la chute de Bachar al-Assad, des milices de l’ancien régime et les nouvelles autorités de Damas ont combattu dans la région alaouite de Lattaquié. Plusieurs centaines de personnes sont mortes, y compris des civils.
En dépit de ce qu’il peut dire sur sa volonté de « négocier », Vladimir Poutine n’est pas prêt à baisser les armes, car il n’a pas atteint son objectif : contrôler le destin politique de sa voisine et contribuer à y installer un régime « ami » de Moscou.
Les Vingt-Sept ont mis en scène jeudi leur détermination à « se réarmer » massivement lors d’un sommet extraordinaire à Bruxelles. Mais le Hongrois Viktor Orbán, proche de Vladimir Poutine, s’est refusé à signer une partie des conclusions portant sur l’aide à l’Ukraine et les négociations de paix à venir.
L’administration a mis à la porte un très grand nombre de scientifiques dans les agences fédérales. Celles et ceux qui restent se taisent et doivent censurer leurs travaux. Mais la mobilisation s’organise, avec une première mobilisation internationale vendredi 7 mars.
70 humains touchés, plus de 900 élevages laitiers infectés : la grippe aviaire qui se propage outre-Atlantique ne se limite plus aux oiseaux. Un contexte à haut risque sur lequel l’administration Trump entretient le flou.
« Riposte graduée », « humiliation », « rapport de force » : Bruno Retailleau fait monter la tension envers l’Algérie, dont le pouvoir ne cesse de se raidir. Quelles sont les vraies raisons de cette escalade ? Peut-on en sortir, et comment ?
Dans les pays de l’ancien « bloc de l’Est » aujourd’hui membres de l’Union européenne, les coupes dans les fonds de l’USAID mettent en lumière la dépendance toujours forte des acteurs de la société civile aux financements étrangers. À Budapest, Viktor Orbán s’en félicite.
Emmanuel Macron a posé des mots graves sur la situation internationale, mercredi 5 mars, lors d’une allocution télévisée. Actant le début d’une « nouvelle ère » où « la menace revient à l’est », le chef de l’État a tenté de préparer les esprits à des choix budgétaires radicaux pour financer l’effort de défense.
L’arsenal nucléaire français est censé protéger les « intérêts vitaux » du pays. Remise en avant par Emmanuel Macron, la « dimension européenne » de ces intérêts vitaux suscite une grande méfiance parmi des forces très différentes de l’opposition. Mais de quoi parle-t-on ?