Qu’ils soient originaires du Mexique, du Salvador, de Chine ou de Syrie, les immigrés vivant aux États-Unis redoutent que Donald Trump et sa nouvelle administration, investis lundi 20 janvier, ne les chassent d’une terre où ils ont déjà pris racine. Des ONG les préparent à se défendre.
Une partie de l’extrême droite européenne est invitée à la cérémonie d’investiture de Donald Trump. La distribution des invitations trace des choix. Pour l’instant, c’est Giorgia Meloni qui semble tirer son épingle du jeu.
Témoin de l’enfer de Gaza, le médecin palestino-britannique espère y retourner dès que possible pour relayer ses collègues et apporter sa pierre à la reconstruction. Non sans craindre qu’Israël rende la vie impossible dans le territoire palestinien.
Les grandes entreprises se bousculent au portillon pour financer les festivités autour de l’investiture de Donald Trump, ce lundi 20 janvier à Washington. Les millions affluent avec des objectifs divers : soutenir le président élu, s’en protéger et en tout cas s’en assurer l’accès.
Plus de 600 camions chargés de denrées de première nécessité ont passé les contrôles israéliens dimanche 19 janvier afin de se rendre à Gaza, selon les Nations unies. En Égypte, le sort du point de passage de Rafah avec l’enclave reste toutefois incertain.
Longtemps, le patron de Meta a été la cible des attaques de Donald Trump. Mais, à la veille du retour de ce dernier à la Maison-Blanche, Mark Zuckerberg a prêté allégeance et donné des gages, rejoignant le « boys’ club » des patrons de la tech soutenant le prochain président des États-Unis.
Pour l’observateur critique des technologies Thibault Prévost, la victoire de Trump coïncide avec le moment où les milliardaires de la Silicon Valley imposent l’intelligence artificielle dans les sphères politiques et économiques. Avec des racines idéologiques communes.
Quel peut être l’avenir à Gaza alors qu’Israël a anéanti tout ce qui permettait d’y envisager un futur ? Éléments de réponse avec la chercheuse Stéphanie Latte Abdallah, qui déploie le terme de « futuricide » et éclaire aussi les échanges entre otages et prisonniers à venir.
Ils et elles étaient quelques dizaines de milliers à défiler contre Donald Trump, samedi, à Washington. Bien loin du demi-million de la Marche des femmes au début de sa première présidence. La « résistance » de 2017 peut-elle se reformer en 2025 ?
Après plus de quinze mois d’une guerre meurtrière menée par Israël à Gaza, déclenchée par les attaques du Hamas le 7-Octobre, une trêve va enfin entrer en vigueur dimanche 19 janvier. Pour les populations civiles et les otages, on ne peut que s’en réjouir. Mais sans rien oublier.
Les ravages causés par les incendies de Los Angeles remettent en lumière les coûts stratosphériques des dérèglements climatiques. Sans politique réelle de lutte contre le réchauffement, le monde risque de ne plus être assurable.
À la veille de l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche, quel est l’état d’esprit des activistes du climat aux États-Unis ? Quelle opposition construire ? Entretien avec Collin Rees, activiste au sein de l’organisation Oil Change International.
Où va Dominique de Villepin ? À l’heure du retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis, cet opposant de toujours aux aventures impériales américaines est l’invité de « L’échappée ». Un entretien au long cours où il assume son ambition présidentielle.
Pour l’ancien ambassadeur d’Israël en France, le président états-unien élu, qui revendique « un rôle clé qu’il faut lui reconnaître » dans l’accord de cessez-le-feu à Gaza, ne laissera pas le premier ministre israélien saboter la trêve et recommencer la guerre.
Après quinze mois de destructions extrêmes, il aura fallu une élection aux États-Unis pour tout changer. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, après maints retournements, a finalement accepté un accord temporaire. Mais à quel prix ?
Dans le comté de Kern, au nord de Los Angeles, la police aux frontières s’est livrée pendant une semaine à une véritable chasse à l’homme parmi les travailleurs étrangers, majoritairement latinos. Certains ont été « seulement » arrêtés, d’autres ont déjà été expulsés au Mexique.